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Paul Bocuse – une vraie fascination pour le limonaire, l’orgue, le cirque, les fanfares …

05 mai 2019  0  Non classé
 

signature-food-and-sens Souvenir, souvenir … c’est sur le compte Instagram de La Maison Bocuse que nous nous régalons de retrouver les photos marquantes de la vie de du chef Paul Bocuse. Un conseil, consultez régulièrement vous découvrirez quelques pépites photographiques qui retracent l’histoire de la vie du chef.

PAUL BOCUSE et le limonaire –  Fasciné par le milieu du cirque et ses enchantements, Monsieur Paul y prend part, à sa façon, n’hésitant pas à se mettre fièrement en scène dans une ambiance enfantine pour les besoins d’une jaquette de disque. Les instruments de fanfare et l’emblématique limonaire se mêlent alors à la bonne humeur ambiante du Bocuse Circus, composé de Monsieur Paul, sa fille Françoise, le facteur d’orgues Marc Fournier ainsi que le réalisateur de cartons perforés, Paul Émard.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀

MONSIEUR PAUL à la chasse – Jamais loin de la pleine nature qui lui était si chère, Monsieur Paul a fait de son étang, au cœur de la Dombes, son havre de paix. À une vingtaine de minutes de Collonges-au-Mont-d’Or seulement, il s’y retrouvait loin de l’effervescence des cuisines, entouré par les seuls chants des oiseaux aux alentours.

LE CHEF PAUL dans l’eau – Résolument farceur, Monsieur Paul ne perdait pas une occasion de taquiner ses proches et de faire naître quelques éclats de rire autour de lui lorsque la situation s’y prêtait. 

PAUL ET LE COQ – L’homme qui chuchotait à l’oreille des coqs 🐓

FERNAND POINT – Il y a tout juste 71 ans, le père de Paul Bocuse, Georges, formule une requête à son ami Fernand Point (sur cette photo).
Il aimerait que l’illustre cuisinier français qui fut le 1er à obtenir 3 étoiles au Guide Michelin accueille Paul au sein de ses équipes. Le grand chef refuse cordialement, mentionnant des temps difficiles. Néanmoins, rien n’arrêtera Paulo des bords de Saône qui fera tout pour intégrer les rangs de celui qui deviendra son mentor, au restaurant « La Pyramide » à Vienne. Une fois le poste obtenu, il cachera quelques temps son identité pour prévenir tout traitement de faveur, et s’emploiera à faire ses preuves dans les cuisines. Il obtiendra, à son tour, 1 étoile en 1958, puis 2 en 1962 et enfin 3 en 1965.

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