Jacques Maximim –  » On n’est pas un vrai chef à 25 ans « 

20 avril 2018  6  Non classé
 

signature-food-and-sens À 70 ans le chef Jacques Maximim est une icône, une légende, un maître de la cuisine française, de la gastronomie… celui qui n’a plus rien à prouver s’exprime librement sans se soucier de faire plaisir ou de choquer. La cuisine spectacle ce n’est pas son truc, pour lui un chef doit avoir de longues années de pratique avant de se faire appeler chef !

Voilà ce que déclare le chef Jacques Maximin  » Aujourd’hui, à la télévision, on fait croire aux gens qu’on peut être un vrai chef à 25 ans… C’est totalement illusoire. Pour y arriver, il est indispensable de maîtriser ses bases et ses classiques. Je connais par coeur l’Escoffier, le Répertoire de la Cuisine Gringoire et Saunier, est une bible. La cuisine est une roue qui tourne, le savoir et les gestes se transmettent inlassablement. Même si les jeunes chefs sont beaucoup plus libres que je ne l’étais à leur âge, pour que leur inspiration ne s’évapore pas dans une mode éphémère, il est indispensable qu’ils aient la patience d’acquérir de vraies connaissances, validées par de longues années de pratique « 

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6 réflexions sur « Jacques Maximim –  » On n’est pas un vrai chef à 25 ans «  »

  1. marcel marzullo

    il a bien raison ,MAXIMIN ,je pense que pour tous les métiers surtout les métiers manuel,il ne faut pas courir avant de savoir marcher.

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  2. Joel Rambaud

    Encore un qui veux perpetuer les conditions de vie du moyen age dans les cuisines ,
    Mais attendez , Monsieur Maximin que faisiez vous quand vous aviez 25 and , he oui chef de cuisine ! Alors par votre definition vous etes ?
    Revenez donc nous voir a Newport Beach en Californie , Vous etes partis si vite ????

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  3. Caizergues max

    Ce que je pense rejoint les propos de Jacques pour ma part après avoir commencé en pâtisserie je suit passer par un chef lyonnais qui a fait son apprentissage avec na dron ce dernier avait son restaurant avec 2 étoiles au. Michelin près de la mairie de Lyon son non m échappe ensuite le vefour avec Raymond Oliver puis maxime la mere Guy à Lyon et tante Alice ensuite un relais château et l’expo de Montréal de je suis partie au Japon comme professeur de cuisine chez tsuji. A osaka après presque 3 ans retour à Lyon à la pastourelle ensuite départ Marseille ou j ai ouvert un restaurant avec mon nom pour enseigne

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