Covid 19 – Revue de Presse – Notre responsabilité de chef d’entreprise, c’est de faire en sorte que l’après ne soit pas pire que l’avant.

09 avril 2020  0  Non classé
 

signature-food-and-sens Rubrique hebdomadaire sur F&S : une La Revue de presse de la semaine un peu particulière puisqu’elle se concentre sur la pandémie du Coronavirus. Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité des chefs ou de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Une façon de relayer cette crise sanitaire et économique qui touche notre pays et le monde.

 

ELLE À TABLE – Bertrand Grébaut à Poêle – Par la Rédaction

Pour s’arrêter un instant et faire voyager son esprit, ELLE à Table s’associe au podcast « A Poêle » pour vous faire découvrir 48h en avance l’univers d’un chef. Aujourd’hui, ce sont Bertrand Grébaut et Théo Pourriat, duo de restaurateurs à la tête de Septime, Clamato, Septime la Cave et d’Une Ile qui se racontent au micro de la journaliste Julie Gerbet. Avec ce format dans lequel elle invite les acteurs du monde de la gastronomie, Julie Gerbet aime laisser le temps aux intervenants de se présenter avec sincérité, de se raconter autour d’anecdotes, et de s’engager en présentant des actions concrètes mises en place au quotidien. …/… Pour lire la suite Cliquez ICI

 

KONBINI – Mauro Colagreco au coeur du confinement – Par Robin Panfili

Le chef du meilleur restaurant du monde est confiné chez lui, à Menton, avec un joli potager avec vue sur la mer. Depuis quelques jours, la pression est retombée au Mirazur, où nous étions partis en reportage il y a quelques semaines. Fermé à cause de l’épidémie de coronavirus, le chef Mauro Colagreco (lire notre interview) et ses équipes sont assignés à résidence. Mais ça ressemble à quoi le quotidien confiné du chef du meilleur restaurant du monde ? On s’occupe comment ? On mange quoi ? On regarde quoi ? On est allés lui poser quelques questions en visioconférence. …/… Pour lire la suite Cliquez ICI 

 

ACTU.FR –  Certains commerçants ne se relèveront pas – Par la Rédaction

Jean-Denis Meslin, président de la Chambre de métiers et de l’artisanat de la Manche, revient sur cette situation inédite liée à l’épidémie de Covid-19. « C’est très compliqué »

On imagine que de nombreux commerçants et artisans vont ont fait part de leur désarroi ? C’est une catastrophe pour tous les métiers. Il y a ceux qui ont fermé, comme les coiffeurs, et d’autres qui restent ouverts mais qui ne travaillent absolument pas. Je pense aux garagistes, aux pâtissiers-chocolatiers, aux traiteurs, et j’en passe…  » Certains sont en grande souffrance comme les bars-tabacs car c’est bien souvent le bar qui fait tourner la boutique. Partout, ça devient très compliqué. « 

Chômage partiel – Qu’en est-il des boulangeries ? C’est pareil ! Partout, le chiffre d’affaires est en chute libre. Les confrères me parlent de – 60 %, – 70 %… Pour mon cas personnel, c’est – 80 % ! D’habitude, on bosse avec les travailleurs en centre-ville, avec les écoliers à proximité. Là, il n’y a plus un chat en ville. « On a l’impression que c’est la guerre. Il n’y a plus de repas de famille ou de bouffes entre amis, donc il n’y a plus d’achats de gâteaux ou de pâtisseries, on ne livre plus le pain aux cantines scolaires et surtout, plus personne n’achète de sandwichs. » …/… Pour lire la suite cliquez ICI

 

L’HOTELLERIE-RESTAURATION – Didier et Sandra Goiffon, les gérants de l’hôtel-restaurant La Huchette en grandes difficultés en raison de l’arrêt de leur activité – Par Stéphanie Pioud

Replonges (01) Comme beaucoup de leurs confrères, Didier et Sandra Goiffon, les gérants de l’hôtel-restaurant La Huchette, près de Mâcon, sont en grandes difficultés en raison de l’arrêt de leur activité. Une situation inextricable selon eux si le confinement devait s’éterniser. D’autant qu’il leur est très difficile d’obtenir les aides financières annoncées. Il y a neuf mois environ, Didier et Sandra Goiffon quittaient leur restaurant étoilé La Marelle, situé aux portes de Bourg-en-Bresse (Ain), pour s’installer à une trentaine de kilomètres, à Replonges, afin de reprendre La Huchette, un hôtel-restaurant de 14 chambres. Les gérants avaient alors investi 1,5M€ dans la rénovation de cette belle ferme de caractère dans le but d’en faire une étape gastronomique et développer une activité hôtelière. En janvier dernier, le chef Didier Goiffon avait même regagné son étoile au Michelin. Mais l’épidémie de Coronavirus a stoppé net leur projet d’une vie. …/… Pour lire la suite cliquez ICI

 

LEVIF.be – La gastronomie doit changer – Par Michel Verlinden

Depuis le 13 mars à minuit, les restaurants ont fermé leurs portes et tiré leurs rideaux, avec l’interdiction stricte de recevoir leur clientèle. Touchés de plein fouet par les mesures visant à juguler l’épidémie de coronavirus, ces lieux de vie semblent au point mort. Comme malgré cette crise, on ne va pas cesser de les aimer – pour tout le plaisir qu’ils nous procurent depuis des années – on a voulu donner de la voix aux chef(fe)s, à travers notre série: Confinement, les chefs se confient. Voici le second épisode, avec Vincent Gardinal, du Prieuré Saint Géry. Mon ambition est d’être un très bon aubergiste de campagne » nous avait un jour humblement confié Vincent Gardinal. Peut-être que la situation géographique de son restaurant, situé aux confins de la Botte du Hainaut, a inconsciemment préparé l’intéressé à garder les pieds sur terre. « Les gens qui viennent chez moi ont effectué, au bas mot, une demi-heure de route. C’est clair, nous sommes au milieu de nulle part. Cette situation commande un accueil sans faille. Il faut que les convives qui arrivent ici se sentent accueillis dès la première seconde. Je viens les saluer quand ils entrent et je leur dis au revoir quand ils partent. Ils savent donc que le capitaine est sur le pont. Le reste doit être à l’avenant. Il est crucial de proposer une cuisine généreuse et juteuse qui réconcilie avec la vie. Quand on se trouve loin de tout, on ne peut pas donner dans le « consommé d’épluchures de pommes de terre ». Il est nécessaire de rassurer, dorloter, rester fidèle à une vision somme toute assez classique de la gastronomie », livrait-il au cours du même entretien. … Pour lire la suite cliquez ICI.

 

LA TRIBUNE – Reprendre le travail, c’est vital ! – 

 Nous, entrepreneurs (*), devons fournir l’effort que le pays attend de nous: garantir à nos salariés leur emploi, assurer la pérennité de nos entreprises, maintenir l’activité de notre pays et créer des richesses pour relancer la machine économique. Le rôle des politiques aujourd’hui est de gérer cette crise sanitaire et humaine sans précédent. Le président de la République a parlé de guerre. Peu importe que le terme soit juste ou non. Prenons-le tel qu’il a été prononcé. Dans une guerre, chacun à sa place doit jouer son rôle : défendre la Nation. Les soignants sont en première ligne et leur courage nous oblige. Ils jouent leur rôle. Avec une abnégation et une dignité qu’il sera réellement bon de considérer une fois la crise passée avec des actes. Si nous ne faisons rien alors qu’ils se relaient jour et nuit pour sauver des vies et rendre à la Nation une population saine et soignée, que se passera-t-il une fois leur travail accompli ? Oserons-nous prendre le risque, en n’agissant pas, d’ajouter à la crise sanitaire, une crise sociale ? Certainement pas. Mais si les soignants doivent être soutenus, de notre coté, nous, entrepreneurs, devons fournir l’effort que le pays attend de nous: garantir à nos salariés leur emploi, assurer la pérennité de nos entreprises, maintenir l’activité de notre pays et créer des richesses pour relancer la machine économique. …/… Pour lire la suite de l’article Cliquez ICI

 

GUIDE MICHELIN – Il faut aider les producteurs – Par la Rédaction

On ne le dira jamais assez : sans bons produits, il n’y a pas de bonne cuisine. Entre les chefs et leurs producteurs, il y a en général bien plus qu’une simple transaction de marchandises : ceux qui sont, au départ, des collaborateurs, deviennent en général des amis. Lorsque l’annonce de la fermeture des restaurants est tombée le 14 mars à 20h, c’est tout l’écosystème des petits producteurs indépendants qui a tremblé à l’unisson. Maraîchers, pêcheurs, éleveurs, oléiculteurs, producteurs d’agrumes… Autant de petites entreprises spécialisées dans la production à destination des chefs, et qui ont dû trouver du jour au lendemain un fonctionnement adapté à cette situation de crise. Voici les témoignages de quatre d’entre eux.

Eric Roy Le Jardin des Roys, St-Genouph (37) – 

« Dès la fermeture des restaurants, il a fallu s’organiser au plus vite : ils représentent 100% de ma clientèle. Nous sommes une petite entreprise de cinq salariés, j’ai tout de suite décidé de ne pas recourir au chômage partiel, de garder tout le monde au boulot et d’aller de l’avant. Les légumes, eux, continuent de pousser ! J’ai donc fait une annonce sur les réseaux sociaux et mis en place un système de vente aux particuliers. On garde le même rythme que d’habitude : on récolte et on lave le matin, en vend l’après-midi. On n’a pas de stock : le stock est dans les champs ou dans les serres. On est allé au plus simple avec deux formats de paniers, l’un à 20€ et l’autre à 50€. Le grand format permet à certains clients de faire le relais dans leur voisinage, leur immeuble… On a des retours très positifs…/… Pour lire la suite cliquez ICI 

 

LE FIGARO – François, Boulanger et héros ordinaire – Par

François est très fier. BFMTV vient de tourner un reportage sur le don de 45 paniers repas, la semaine dernière, à deux hôpitaux parisiens –   et Saint-Louis – par la boulangerie traiteur qu’il gère. Les plats de qualité font la notoriété de cette «Maison du dimanche» installée depuis trois ans sur cette petite place du 17e arrondissement parisien. Tout y est fait «maison», des recettes salées ou sucrées originales aux jus de fruits naturels. Cette jolie petite enseigne, aux plantes vertes accrochées aux murs, à la vaisselle dépareillée, et aux petites tables d’intérieur ou d’extérieur, est devenue un espace convivial du quartier. Avant, tout le quartier y défilait, des résidents aux chalands en passant par les ouvriers de la semaine. …/… Pour lire la suite cliquez ICI

 

SORTIRAPARIS – les Guides Lebey déplace dîner célébrant l’excellence gastronomique 2020 – Par la Rédaction

Le fameux dîner de l’année célébrant l’excellence gastronomique 2020 initialement prévu le 23 mars 2020, puis le 11 mai 2020. investira finalement le Pavillon Gabriel le 28 septembre 2020. Au menu, les plats Signature de très grands chefs : Guy Savoy, Frédéric Anton, Raffaelle Alajmo et Julien Alvarez. De la très haute gastronomie.

Les célèbres Guides Lebey organisent finalement leur dîner de l’année lundi 28 septembre 2020 au Pavillon Gabriel. Initialement prévu le 23 mars puis reporté au 11 mai, ce dîner est décalé à septembre 2020 en raison de l’épidémie de coronavirus qui sévit actuellement. Au menu de ce dîner célébrant l’excellence gastronomique 2020, les plats Signature de quatre grands chefsinternationaux parmi les plus réputés du moment. …/… Pour lire la suite Cliquez ICI

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