Thierry Marx – ses idées pour lutter contre le chômage des moins de 25 ans
François Hollande en avait fait une priorité de son quinquennat, malheureusement échec sur tout la ligne, et notamment pour le chômage des jeunes de moins de 25 ans qui continue à grimper. C’est un fléau chez les jeunes. Même en trafiquant les chiffres et en s’aidant d’emplois aidés, le gouvernement actuel ne peut que se résoudre a avouer son incompétence à transformer l’équation chômage.
Le JDD de ce dimanche 12 février est allé à la rencontre de 8 personnalités du monde économique et de l’entreprise pour connaître leurs sommations ..; parmi eux Stéphane Richard PDG d’Orange, Bernard Tapie ancien Ministre, Antoine Jouteau DG du Bon Coin, … et le chef Thierry Marx …
C’est le côté chef d’entreprise et de cuisine qui nous intéresse à F&S … Thierry Marx est le créateur de » Cuisine Mode d’emploi(s) » … programme de formation aux métiers de la restauration, le chef dispose d’une bonne connaissance du terrain, notamment pour son implication dans le monde associatif et économique.
Voilà ses propositions : Développer des formations courtes et opérationnelles
» Le nerf de la guerre, c’est la formation. L’apprentissage actuel est trop long et trop théorique. il faut faut former les jeunes plus rapidement pour répondre à la fois à leur demande et à celle des entreprises. les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas le même rapport » sacrificiel » à l’emploie que leurs parents. Ils ont parfois jusqu’à cinq ions différents avant l’âge de 30 ans : ils veulent donc se former de façon rapide et efficace pour être en mesure de changer d’envie professionnelle. Dans les centres » Cuisine Mode d’Emploi(s) que j’ai créés, mou formons aux métiers de la restauration en trois mois : huit semaines de théorie et de portique, quatre de stage. Cela suffit pour apprendre 80 gestes fondamentaux de cuisine et 90 recettes. Pour obtenir un CAP il faut deux ans et on y donne aux élèves des informations qu’ils pourraient trouver sur leur smatphone, comme la recette de spaghettis bolonaise ! Sur les 800 stagiaires que nous avons formés, le taux de retour à l’emploie est de 94 % « .
Réponse de F&S : il faut quand même ajouter que la restauration est une branche en recherche de main d’oeuvre constante et permanente. Et que beaucoup de jeunes se sont détournés des travaux manuels, et notamment de ceux de la restauration, trop compliqués pour avoir une vie de famille. Aujourd’hui il y a une pénurie de main-d’oeuvre dans la restauration et surtout une désaffection de ces métiers. Donc le problème est différent et inverse dans cette branche, il y a sur le marché de nombreuses offres d’emplois qui ne trouvent pas de candidat.
Le Grand Ducasse : dans tous es malheurs, quand même de la chance.
Il es toujours vivant