Nîmes – Franck Putelat demande au chef anglais Alex Dilling ( 2 étoiles à Londres ) de signer les plats signatures de son restaurant
Le chef Londonien Alex Dilling, chef deux étoiles, signe jusqu’à la fin de l’année des « plats signatures » au restaurant du Musée de la Romanité, à Nîmes, le chef était sur place hier en compagnie du chef Carcassonnais Franck Putelat.
C’est le concept même de l’établissement. Celui qui avait fait basculer – en grande partie – le choix des élus nîmois pour Franck Putelat, au moment de la concession du restaurant du musée de la Romanité. Tous les ans, le chef deux étoiles carcassonnais, qui signe la carte de la Table du 2, associe son nom à celui d’un grand chef étranger.
Pour sa deuxième année d’existence, le restaurant du musée de la Romanité, fait appel au britannique Alex Dilling, lui aussi deux macarons au Michelin mais à Londres. Aujourd’hui aux commandes de The Greenhouse à Londres, Alex Dilling a notamment œuvré au sein de la brigade d’Alain Ducasse chez Adour à Manhattan, avant de devenir chef de cuisine du restaurant Caviar Russe à New York où il obtenait sa première étoile.
Il rejoignait ensuite Hélène Darroze à Londres pour diriger son restaurant deux étoiles The Connaugh et ses prestations événementielles au Japon, au Mexique et aux USA.
Cet été le chef londonien proposera donc un cabillaud poché, puis une tarte aux champignons à l’automne et terminera avec une blanquette de veau pour l’hiver, des plats re-visités bien sûr avec la touche créative du chef anglais. Ces plats seront servis à des prix allant de 32€ à 39€. Lors de sa présentation, le chef s’est exprimé en anglais a déclaré sa flamme à la gastronomie tricolore : « Je suis un passionné de cuisine française et ma collaboration avec la table du 2 est une opportunité de rendre ma cuisine plus abordable ».
Frédéric Sanchez, le gérant de la société MCDF Restauration, en contrat de concession pour l’exploitation de la Table du 2 a indiqué : « Cette année, les Britanniques représentent la quatrième nationalité à venir visiter Nîmes, c’est aussi une façon de leur rendre hommage ».