Revue de Presse de la semaine – La gastro qui a fait reporter la Finale de Top Chef, Stéphanie Le Quellec  » la cuisine est un jeu de séduction « , le Covid-19 vide les restaurants chinois, …

17 février 2020  0  Chefs & Actualités F&S LIVE
 

signature-food-and-sens Rubrique hebdomadaire sur F&S : « La Revue de presse de la semaine ». Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité des chefs ou de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Une façon de plus de mettre en avant le travail des chefs, leur talent, leur créativité, dans un monde qui bouge en permanence.

L’EXPRESS – Stéphanie Le Quellec, la cuisine du coeur – par Ezechiel Zerah

Pour L’Express diX, la cheffe doublement étoilée au guide Michelin Stéphanie Le Quellec (restaurant La Scène, à Paris) revient sur les liens entre cuisine et séduction.

Cuisiner pour séduire, ça marche ? La cuisine est un jeu de séduction et d’abord auprès des clients, que l’on a envie de conquérir, d’emmener dans notre univers. 

Votre plat séduction pour les faire revenir ? L’entrée signature au caviar et son côté suave. Sous une apparence extrêmement simple et dépouillée, elle crée la surprise : le cube de brioche, une fois croqué, dévoile un coeur coulant de soufflé de pommes de terre qui mêle textures et températures. On apporte du piquant et de l’acidité avec la crème crue et l’oseille sauvage. Ça résume bien ma vision de la séduction culinaire.  Pour lire la suite cliquez ICI.

 

PLANET.FR – Par Thomas Louisy

ENTRETIEN. L’émission Top Chef a révélé de nombreux talents de la gastronomie française depuis dix ans. Pourtant, peu de femmes sont présentes parmi les candidats du concours culinaire chaque année. Pour Planet, la production s’est justifiée sur ce manque de parité. Les fans de gastronomie trépignent déjà d’impatience. Le mercredi 19 février prochain, Top Chef fait son grand retour pour une onzième saison sur M6. Une nouvelle édition qui promet beaucoup de surprises, mais également de l’audace, de l’excellence et de l’engagement de la part des participants. Pour lire la suite Cliquez ICI

 

LE PROGRES – 

Fin janvier, le Lantriacois Pierre Sang-Boyer, vainqueur, en 2011, de la saison 2 de Top Chef sur M6, a publié sur son profil Instagram une mystérieuse photo où on le voit en compagnie du chef Cédric Grolet, originaire de Firminy et formateur à l’Ecole supérieure de la pâtisserie d’Yssingeaux. On a voulu en savoir plus sur le nouveau projet en question, qui réunit les deux superstars locales.Sur le réseau social Instagram, vous parlez d’un « nouveau projet » avec le chef Cédric Grolet, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur cette collaboration ? « Effectivement, nous travaillons avec Cédric en ce moment sur un dessert à quatre mains que nous présenterons lors de Taste of Paris. Ce dessert fera le lien entre nos deux univers, et nos origines surtout. » – Pour lire la suite Cliquez ICI

 

LE PARISIEN – La gastro-entérite d’un finaliste de Top Chef – Par Michaël Zoltobroda

« Bizarre, mon téléphone n’arrête pas de vibrer. Il doit y avoir un problème. » Ce lundi 3 février à midi, Paul Pairet rejoint illico la régie de « Top Chef », installée dans les sous-sols du Four Seasons Hôtel Georges V à Paris, où doit se jouer la grande finale 2020. Une première dans l’histoire du concours de cuisine, présenté par Stéphane Rotenberg. Comme Hélène Darroze, Philippe Etchebest et Michel Sarran, le nouveau juré étoilé se retrouve face à une situation inédite : un des finalistes est souffrant. « Après une nuit difficile, il a été vu en urgence par un médecin qui a diagnostiqué une gastro-entérite, nous précise M6. Il a été déclaré inapte. Sa maladie étant contagieuse, impossible de toucher les aliments. »… Pour lire la suite cliquez ICI.

 

TIME OUT – Le comptoir à jaja le plus cool de Paris – Par Houssine Bouchama

Pour qui ? Ceux qui veulent bien manger, bien boire (et se faire voir)
Boire quoi ? Des vins natures : consensuel mais très glouglou rouge Hanami de Bobinet (26 € la bouteille), ou plus rare Steinert 2016, pif orange de Pierre Frick.

Et de deux ! Après avoir régalé son p’tit monde à deux numéros de là (Vivant), Pierre Touitou et Arnaud Lacombe, 25 et 30 piges chacun, remettent le couvert et nous rejouent pépouze le refrain de Kool Shen : L’avenir est à nous. Dans ce bar minimaliste poussé à l’extrême, on gomme tous les superflus et on va droit au but façon Olympique de Marseille : pas de chaises, pas de tables, pas de porte d’entrée et encore moins de devanture. On ne garde que l’essentiel : le comptoir et la cuisine.

 

EATER – La crise du coronavirus pour les restaurants chinois installés aux États-Unis – Par  

While the United States has only 12 confirmed cases of the new coronavirus (2019-nCoV) that was first reported in Wuhan, China, fallout from the epidemic has had a major impact in American Chinese restaurants and U.S. Chinatowns from New York to Seattle. With sudden restrictions on international travel and cancelled flights to and from mainland China, where there have been over 40,000 cases of the virus, accompanied by a rash of coronavirus panic in the U.S., these businesses are experiencing huge economic losses. Pour lire la suite cliquez ICI

 

CHINE-info.com –  L’aventure chinoise du piment – Par Sacha Hhalter

Le piment existe en Chine depuis la dynastie Ming. Il a bouleversé l’alimentation des Chinois. Contrairement à une idée souvent répandue, c’est seulement depuis 30 ans que le piment est une vraie mode. Avant 1949, il était surtout considéré comme l’aliment des pauvres. Il est désormais la star des snacks et de la cuisine chinoise. Comment le piment a-t-il pu s’imposer ?

En juin paraissait en Chine Une histoire du piment en Chine ( 中国食辣史). Son auteur, Cao Yu, un universitaire cantonais, est parti d’une question qui opposait sa mère du Hunan – de culture culinaire très relevée –, et son père, du Guangdong – dont la cuisine est réputée pour sa « fadeur » –, au moment de passer à table : piment ou pas piment ? Cao Yu s’est donc lancé à la découverte de l’histoire de cette épice, depuis son apparition en Chine sous la dynastie Ming au XVIsiècle… Son livre a fait fureur dans l’Empire du Milieu l’été dernier. Pour lire la suite cliquez ICI

 

FRANCE-INTER – Le tour du monde de la Brioche  – Par FR Gaudry

Fils d’Andrée Zana-Murat, auteure de nombreux livres de cuisine dont l’incontournable « La cuisine juive tunisienne », et de Bernard Murat, célèbre metteur en scène et directeur du théâtre Edouard VII, Emmanuel a grandi entre la cuisine et les planches. Dès l’âge de 17 ans, il commence à travailler dans le cinéma. Il a notamment été assistant réalisateur durant 10 ans auprès de Danièle Thomson, Claude Miller, Benoît Jacquot ou encore Claude Berri. Depuis 10 ans maintenant, il est passé du côté de la production où il développe des projets cinématographiques : recherche de scénaristes, producteurs exécutifs, réalisateurs et financements. Il continue d’ailleurs toujours d’exercer sa profession en parallèle de Babka Zana. Sa femme, Sarah Murat est styliste et DA dans le prêt-à-porter. Mais ils voulaient créer ce projet commun d’une boulangerie levantine. L’idée leur est venue il y a un an et demi. Pour lire la suite cliquez ICI

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