Le chef Thierry Drapeau ouvre » Cheval Blanc » à Phnom Penh au Cambodge
Le chef étoilé Thierry Drapeau ( Relais & Châteaux Domaine de la Chabotterie à Saint Sulpice Le Verdon dans le département de la Vendée ) développe son savoir faire en Asie. En effet le chef ouvre simultanément deux établissements sur le continent asiatique, le premier à Bangkok en Thaïlande, le deuxième au Cambodge à Phnom Penh.
C’est d’ailleurs depuis Phnom Penh que le chef a diffusé ce week-end les premières photos de son restaurant nommé » Cheval Blanc » situé dans la capitale économique du Cambodge. La ville est en plein essor, c’est une grande métamorphose que connaît l’ancienne colonie française » Perle d’Asie « , les immeubles modernes poussent comme des champignons, les bars et restaurants branchés s’étalent le longs des avenues modernisées.
C’est au coeur de ville que le chef a trouvé son nouveau terrain d’expression culinaire, dominant la ville depuis les larges baies vitrées, le chef va y délivrer un vrai savoir faire français et gastronomique. Les meilleurs produits sont a sa disposition, accompagné de sa jeune équipe le chef a entamé les derniers préparatifs d’avant l’ouverture, plus que quelques heures avant de pouvoir accueillir les premiers clients.
F&S vous en dit plus bientôt…
Commment laisser un goût amer à lcuisine de Thierry Drapeau …
Beau tour de magie, on achète des coffrets cadezux et vous ne pouvez pqs les utiliser… Thierry Drapeau a laissé des futurs clients achetés en sachant qu’il pzrtirait avec l’argent…
Je ne pensais pas que Thierry Drapeau avait cette mentalité…
Rien ne changera, on part avec son égoïsme et son égocentrisme dans sa valise pour s’installer ailleurs
On pense créer du neuf ailleurs alors qu’on emmène de l’ancien dans un coin neuf
Mais tôt ou tard « cet ancien » se reflètera dans toutes choses et dans toutes relations humaines et tout recommencera à l’identique comme avant …
Le changement si il a lieu ne peut être, ne doit être qu’en profondeur, non en surface. Partir ne change rien mais donne l’impression d’avoir changé