Le Royal palm à Marrakech devient le Fairmont Royal Palm
Le groupe hôtelier de luxe Fairmont arrive au Maroc
À Marrakech, fleuron de l’hôtellerie de luxe au Maroc et en Afrique, le resort Royal Palm a récemment intégré le groupe hôtelier Fairmont (désormais filiale de AccorHôtels). Pour fêter en grande pompe cette intégration prometteuse, l’hôtel a donné ce vendredi 10 novembre une fête d’anthologie, ponctuée par un feu d’artifice spectaculaire, qui a illuminé le golf. Food&Sens était sur place, et n’en a pas raté une miette ! Récit d’une soirée mémorable – et focus sur ses agapes !
Pour célébrer son tout premier hôtel au Maroc, le groupe Fairmont avait mis les petits plats dans les grands ; un déjeuner de presse a d’abord ouvert les festivités vers 13 heures, avec menu de circonstance. En entrée, une poêlée de gambas sur une tarte fine à la tomate lançait le bal prandial, avec son coulis au pistou. Le plat lui faisant suite se composait d’une volaille en Tandoori marinée au yaourt, citron vert et épices de l’Océan Indien. La tarte au citron finale présentait une meringue onctueuse, d’une épaisseur réjouissante. Le tout s’est dégusté dans un cadre idyllique, d’une beauté à couper le souffle : celle du restaurant d’extérieur L’Olivier, bordé par la piscine centrale du resort, et dont la vue donne à plein sur l’Atlas, le parc vallonné et le golf. L’impression se dégageant de ce déjeuner ? Celle d’un moment hors du temps, dans une oasis luxuriante.
La conférence de presse qui suivait a mis en exergue les nombreux points forts de ce premier hôtel Fairmont au Maroc : golf 18 trous, spa Clarins de 3.500 m2, centre de fitness, Club House flambant neuf, nouvelle ferme berbère avec chevaux, ânes et poules, et bien sûr, le parc infini encadrant l’ensemble…
À 19h30 du même jour, débutait une soirée pleine de style, qui s’est finie tard dans la nuit. Accueillis par un joueur de cornemuse, nous sommes arrivés dans une atmosphère festive, où buffets variés et groupe de musique endiablé se répondaient sur la piscine centrale, entièrement recouverte pour l’occasion, et convertie en dancefloor géant.
Du côté des buffets, le Fairmont Royal Palm avait vu les choses en grand : un véritable food market prenait place sur les terrasses suspendues du resort. Au programme, un stand canadien (en rappel à la nationalité initiale du groupe) était chargé de bonbons de pain de viande au sirop d’érable, de fèves au lard, de poutine au foie gras, et de cochons à la broche. Le stand marocain présentait pour sa part un méchoui d’agneau entier cuit à la broche, assorti d’une foule d’accompagnements : carottes au cumin, potiron et coriandre, poivrons, salades marocaines, aubergines au zaalouk… Il proposait également de nombreuses tagines, dont des tagines de bœuf à la Tangia, et des tagines de lotte à la Fassi. Un couscous de légumes complétait le stand. Le stand barbecue proposait quant à lui des brochettes de volaille marinée au cumin, de la kefta aux épices, de la soupe Harrira avec dattes et choubakia, et des pâtisseries marocaines en nombre. Du côté du stand asiatique, l’abondance était là encore de mise : des rolls à la chair d’araignée côtoyaient des California rolls, des woks de légumes et volaille au poivre vert, des vapeurs aux crevettes, poulet et crabe, de la soupe de tofu et wakamé, des nems, des samossas et des rouleaux de printemps. Le stand méditerranéen, serti de gambas, de risotto aux asperges, de taboulé de quinoa et son croustillant de volaille, de ceviche de bar aux agrumes, et de rillettes de volailles, se tenait non loin du stand des produits de la mer (huîtres, oursins, crevettes royales, calamars et langoustes au barbecue). Le stand du boulanger débordait de diverses sortes de pains (focaccia, pain de seigle, pain marocain au citron), celui du fromage présentait un brie aux truffes à se damner, du Saint Nectaire, du chèvre crémeux, du camembert et du roquefort, et le stand des desserts offrait mousses au chocolat, mousses vanille, mont blancs, tartelettes, verrines, pièces montées de macarons, choux à la vanille, crèmes brûlées et plus encore.
Vers 22h30, une musique classique majestueuse a signé l’arrivée du clou final de la soirée : le feu d’artifice. Saisissant et rythmé, il a illuminé la nuit noire, dévoilant les palmiers encadrant le parc. Mythique.
Par Anastasia Chelini
Photos sublimes, on voit que le festin est à la hauteur!!! Grandiose!
Très attractif
Les lieux ont l’air enchanteurs
L’article donne envie de découvrir