Rooster du chef Frédéric Duca ouvre à Paris, la table dont tout le monde parle.

10 janvier 2019  0  Non classé
 

ROOSTER  la nouvelle table du chef Frédéric Duca a ouvert cette semaine à ParisF&S était sur place, dans quelques jours vous pourrez découvrir le beau reportage que vous prépare la photographe Julie Limont avec une immersion totale dans les cuisines auprès du chef.

 » Une année 2018 remplie de changement qui s’achève, plusieurs mois de doute, de pression, de remise en question, d’engagement, de prise de risque, de choix, de construction pour installer mon propre restaurant… Aujourd’hui le décor est planté et le rodage terminé! Nous sommes prêt à démarrer une nouvelle année 2019 sur les chapeaux de roues pleine de nouvelles aventures avec comme principales ambitions et valeurs l’hospitalité, la convivialité, la générosité, le service, le partage, la qualité, la gourmandise… A très vite @roosterrestaurant  » a indiqué le chef.

Déjà les premiers chefs s’y pressent, comme par exemple ce début de semaine Massimiliano Alajmo le célèbre chef étoilé italien.

Photo J Limont

Frédéric Duca, chef marseillais, a aiguisé ses couteaux dans de prestigieuses cuisines avant d’investir sa propre maison, ici dans le 17arrondissement de Paris.

Les chefs Gérald Passédat et Hélène Darroze marqueront son chemin, tout comme  le Martinez à Cannes, Taillevent et l’Instant d’Or à Paris où iI décroche une étoile Michelin en 2013. Un an plus tard commence une aventure new-yorkaise chez Racines, qui ne lui a pas fait oublier les siennes puisque c’est à Paris, «là où il se sent le mieux » que Frédéric Duca a décidé de poser ses valises désormais.

Autour de lui, des fidèles rencontrés en chemin, en salle comme en cuisine, rassemblés autour des valeurs d’ouverture et de passion du métier, sept professionnels oeuvrent à donner le meilleur.

Rooster, comme la traduction anglo-saxonne d’un emblème français : le Coq. Symbole de panache et de savoir-faire tricolore, Frédéric Duca y signe une cuisine contemporaine sensiblement touchante : celle qu’il aime lui-même manger. Loin de se cantonner à la « volaille », l’agneau, le fenouil, l’anchois et l’oursin ont la part belle, comme les huiles et les épices. La carte est à l’image du restaurant : à taille humaine, et change au gré des humeurs du chef, de la saison ou du hasard de ses rencontres.

137, Rue Cardinet – Paris 17 ème

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