Jean Imbert chef de l’Année pour le magazine GQ

26 novembre 2019  0  Non classé
 

signature-food-and-sens Dans son prochain numéro, GQ France célèbre ses Femmes et Hommes de l’année 2019, ils sont 50 personnalités qui font la France d’aujourd’hui. Le magazine le plus branché de la planète Fashion célèbre comme chaque année les personnalités les plus en vue de l’année qui vient de s’écouler… Un chef chaque année est aussi à l’honneur, cette édition c’est le très dynamique Jean Imbert qui est à l’honneur. c’est ce soir à Paris à l’Hôtel de Crillon où se déroulait la cérémonie que le chef a reçu son trophée.

 « Pour la 10e édition de sa cérémonie annuelle, GQ a souhaité jouer la parité en célébrant pour la première fois « Les Femmes et les Hommes de 2019 » en partenariat avec Samsung Galaxy Fold. Un palmarès constitué de onze lauréates et lauréats qui ont en commun le talent, le panache et un regard singulier sur le monde. «  a indiqué le magazine GQ.

 » Trop cool de succéder à des chefs aussi prestigieux que Ducasse, Gagnaire ou Alléno comme chef de l’année GQ 😊C’est l’occasion de laisser mes joggings au placard🎩  » a indiqué le chef Jean imbert.

« Je sais que tout peut s’arrêter en six mois. J’ai l’énergie d’un survivant. Rien n’est acquis. » C’est ce qui fait sa force, il en est persuadé. Jean ­Imbert nous exhorte à commencer rapidement l’interview : il est pressé, et n’a pas que ça à faire (il le dira plus poliment). Pas question de raccourcir sa nuque pour les photos, il a le même coiffeur depuis dix ans, ce serait le trahir – il prend quand même la carte du nôtre, « juste au cas où l’autre mourrait subitement ». On rigole. Pressé parce que bien occupé : un restaurant dans le 16e arrondissement de Paris (Mamie), un concept culinaire avec le boulanger Éric Kayser (Les Bols de Jean) et deux adresses aux États-Unis (Swan et Encore). Mais aussi des soirées mondaines, une émission de télévision sur France 5 (« 4 Saisons »), un livre paru en novembre aux éditions du Chêne (Merci Mamie), et, à la rentrée dernière, sa nomination à la tête du restaurant du Cheval Blanc

 

St-Barth Isle de France. Sans oublier ses obligations envers l’industrie agroalimentaire (« Je ne veux pas qu’on ferme les yeux sur les 85 % de Français qui font leurs courses au supermarché »), sa cabane écologique en Bretagne avec Voyageurs du monde et ses apparitions au Refettorio ­Paris, le restaurant solidaire de Massimo Bottura et Jean-François Rial, « pour faire parler du lieu ». Pressé, surtout, parce qu’il fait tout avec engagement : « En France, les gens vivotent. Ils ne font pas les choses avec conviction. Quand je décide d’être cuisinier, c’est plus un hobby qu’un métier. Je donne tout, je m’engage à fond, sinon je choisis une autre voie. » Il jure qu’avec tout ça, il a encore le temps de cuisiner : « Je ne vais pas mentir, je n’épluche pas les carottes le matin et ça fait longtemps que je n’ai pas désarêté un poisson. Mais cuisiner, oui ; goûter, me projeter dans un plat, choisir une vaisselle… » Chez lui, il continue à recevoir ses copains célèbres, qu’il envoie ouvrir la porte quand des voisins se plaignent du bruit – il adore ça. Jamais blasé, il a encore la boule au ventre à l’idée de rater le plat de Beyoncé. Jusqu’à maintenant, il réussit tout ce qu’il entreprend. De quoi rendre fière sa maman qui, au début, l’aidait en salle et disait aux clients, les larmes aux yeux : « C’est mon fils en cuisine. » … Pour lire la suite cliquez ICI 

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