D’après une étude parue aux États-Unis 1/4 des livreurs grignotent dans les plats qu’ils doivent livrer à domicile

31 juillet 2019  0  Non classé

 Cette étude ne va pas vous faire rigoler … mais alors pas du tout, surtout si vous êtes consommateurs de plats livrés à domicile. Une étude parue aux États-Unis révèle que pas loin d’un quart des plats livrés chez vous auraient été goûtés par le livreur, voire si il n’est jamais arrivé carrément dévoré. Mais dites vous bien que c’est aux USA, et qu’en France cela ne peut pas arriver … quoique un doute subsiste tout de même !

Vous ne regardez plus votre livraison de repas de la même manière. Selon une étude, un quart de nos plats seraient goûtés par des livreurs pressés ou énervés.

Il arrive sur son vélo, votre précieux entre les mains : le livreur. A ce moment-là, tout va bien, vous salivez à l’idée de ce que vous allez manger. Hé bien dites-vous que vous n’êtes peut-être pas seuls à avoir ce problème et ce charmant livreur pourrait également avoir eu envie d’y goûter. D’après une enquête menée par US Food, ils seraient nombreux à le faire. 28% des livreurs ont en effet avoué grignoter la nourriture des clients, voire même se l’enfiler en entier, soit plus d’un quart d’entre eux. D’ailleurs, 21% des clients aurait des soupçons à ce sujet. Sur les 497 livreurs interrogés de plusieurs applis confondues, 54% ont quant à eux déclaré avoir déjà eu envie de goûter la commande, après l’avoir sentie. Soit plus de la moitié des employés. « Nous sommes désolés d’annoncer que parfois, l’impulsion vient du meilleur livreur, qui viole son devoir sacré en piquant de la nourriture« , ont annoncé les chercheurs. 

Un comportement que ne comprennent pas les clients puisqu’ils ont évalué leur taux de mécontentement sur une échelle de 1 à 10, et ont atteint les 8,4. Pour récupérer leur confiance, ils sont 85% à vouloir voir des étiquettes inviolables sur leurs aliments. Cependant, les livreurs ne semblent pas être les seuls responsables. L’étude a montré également que plus d’un tiers des livreurs ne recevaient pas de réponse de leurs clients au téléphone, ne laissait pas ou peu d’instructions pour la livraison, encourageant ainsi les petits écarts.