Un hôtel Les Airelles bientôt à Paris ?
D’après Le Figaro, l’entrepreneur Stéphane Courbit propriétaire du groupe LOV Hôtel envisage de dupliquer l’enseigne Les Airelles un de plus luxueux hôtel de Courchevel dont la table est signée Pierre Gagnaire. Le premier sera posé à Versailles où, associé au chef Alain Ducasse, les partenaires ont décroché l’appel d’offre leur permettant d’installer sur place un hôtels de 19 chambres.
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EXTRAITS
Après Courchevel, l’homme d’affaires prévoit notamment d’ouvrir un hôtel portant cette enseigne dans Paris.
Les Airelles, l’hôtel le plus luxueux de Courchevel (compter 3000 euros en moyenne la nuit), devrait faire des petits. Son propriétaire, l’homme d’affaires Stéphane Courbit, envisage en effet d’ouvrir d’autres palaces portant cette enseigne. «Nous créons Airelles Collection», déclare Guillaume Fonquernie, président de LOV Hotel, le groupe hôtelier de Stéphane Courbit. Notre ambition est de devenir l’hôtelier français détenant le plus de palaces.»
Employant 500 personnes – des saisonniers à 90% – LOV Hotel réalise aujourd’hui une trentaine de millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise compte quatre hôtels de luxe (dont deux palaces). À Courchevel, elle possède Les Airelles (et son chalet privé Ormelo) ainsi que l’hôtel Aman Le Mélézin -un 5-étoiles cogéré avec la chaîne de luxe originaire de Singapour. S’y ajoutent La Bastide de Gordes et l’hôtel de luxe Pan Deï Palais à Saint-Tropez.
Contrats de gestion
Deux projets d’ouvertures sont en cours. LOV Hotel a décroché – avec Alain Ducasse – la concession du futur palace (de 19 chambres) du Château de Versailles, qu’il compte inaugurer fin 2019. Par ailleurs à Val d’Isère, le groupe a acquis le fonds de commerce et une partie des murs -25%, aux côtés d’autres investisseurs-de l’hôtel 4-étoiles Le Brussel’s.
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Paris est un axe majeur. LOV Hotel avait concouru pour l’emplacement de la place de La Madeleine, finalement remporté par Fauchon. Depuis, une quinzaine de sites ont été regardés. Le groupe étudie «de très près trois opportunités». Il pourrait s’agir d’un hôtel existant ou d’un bâtiment en reconversion. «Nous allons compléter le portefeuille d’hôtels en propriété par des contrats de gestion, afin de renforcer l’emprise de la marque», ajoute Guillaume Fonquernie. Une stratégie moins gourmande en capitaux.