Le Grand Contrôle – Ouverture d’une nouvelle adresse de la « Collection les Airelles » au Château de Versailles – En cuisine : signature Alain Ducasse

01 juin 2021 0 MADE BY F&S

Versailles – Les livrées des majordomes sont impeccables, brocards de couleurs vives aux rebords d’or, pour vous ouvrir les lourdes portes sur des ruissellements d’or et d’argent, de candélabres et pampilles… Images d’un autre siècle où l’excès régnait, l’or et le soleil brillaient de manière extravagante, rutilaient et illuminaient le Domaine Royal et le Château de Versailles, paré de cette grandeur des dieux, des rois, du Roi soleil. L’accueil est royal, la décoration époustouflante, la cuisine est gastronomique et d’excellence. Vous êtes à Versailles, sur le Domaine du Château de Versailles, précisément dans l’intimité du tout nouveau palais du chef multi étoilé Alain Ducasse et de l’entrepreneur Stéphane Courbit, Le Grand Contrôle, dernière adresse de la collection Airelles. Embarquement royal dans le passé, voyage dans le temps, immersion voluptueuse, gourmande et artistique dans le Grand siècle, ses folies de grandeur et d’exubérance. A vous la vie de Château ! A vous les égards, les attentions, les privilèges et les secrets du domaine, les visites privées, les guides particuliers, les moments privilégiés pour découvrir, admirer les merveilles qui des Jardins aux Fontaines, du Domaine du Trianon aux Grands appartements, des Orangeries au Potager du Roy, de l’Opéra royal à la Galerie des Glaces, vous entraîneront dans la vie d’une cour royale.

Le Grand Contrôle ce sont trois bâtiments du XVII et XVIII siècles jouxtant le château : le Pavillon des premières cents marches, le Petit Contrôle et l’hôtel du Grand Contrôle qui abritait notamment le Mess des Officiers de Versailles. Leur réhabilitation et mise en beauté ont été confiées à Pierre Bortolussi – architecte en chef des Monuments Historiques et Christophe Tollemer – architecte-décorateur.

Alain Ducasse et Stéphane Courbit, fondateur de la holding LOV, investie dans l’hôtellerie de luxe, vous accueillent désormais en une nouvelle adresse royale, Le Grand Contrôle.
Bienvenue au Château !

il était une fois un roi, que dis-je des rois, Louis XIV, Louis XV, Louis XVI qui vivaient en un château fastueux, le Château de de Versailles avec une cour qui grossissait, enflait de courtisans, courtisanes, favorites qu’il fallait loger, héberger dignement, royalement. C’est ainsi que rentra dans le « patrimoine » de Louis XV, Le Grand Contrôle construit en 1681 par l’architecte favori de Louis XIV Jules Hardouin-Mansart. Un pavillon époustouflant de grandeur destiné à accueillir tous ceux à qui le roi voulait montrer la grandeur et la puissance du royaume de France, élite politique et culturelle européenne, ambassadeurs, artistes, scientifiques du siècle des Lumières. Aujourd’hui après bien des péripéties, des affectations diverses, commence la nouvelle vie d’hôtel de luxe, de cet hôtel particulier !

Les ors le faste et l’excellence renouent avec ce bâtiment qui vient de voir s’achever une restauration complète pour dévoiler à ses hôtes l’univers exclusif du Château de Versailles. Soyez le roi la reine d’un jour d’une nuit d’un séjour et comme le roi vous pouvez en toute royale liberté flânez dans les jardins de plus de 800 hectares, traverser des pièces salons d’appart comme la cour d’autrefois, et découvrir les 14 Chambres et Suites restaurées dans le plus grand respect de l’esprit d’origine et meublées avec du mobilier d’époque. Le Grand Siècle en majesté court des parquet aux plafonds, du mobilier et peintures d’époque jusqu’aux tenues de l’équipe, dans le respect du style de l’époque. Spa Valmont, piscine intérieur, restaurant gastronomique signé Alain Ducasse offrent des prestations royales. Une expérience hors du temps.

« Messieurs, au couvert du roi, Mesdames au couvert de la reine ». C‘est le règne de l’art de vivre et le service à la française. Comme au temps des festins, banquets, soupers, grands soupers qui animaient les soirées du château quand le roi, la reine , le dauphin goutaient, dînaient, soupaient sous les yeux de la cour affamée, avec un cérémonial des repas, du département de la Bouche du Roi qui mobilisait des maitres d’hôtel, des gentilshommes servants, des contrôleurs, des gouteurs, des gardes et des huissiers, des tranchants, des écuyers, des garde-vaissellles… Une armée! Les agapes du roi et de la cour, des princes et des courtisans, des galants et des coquettes ruisselant de paillettes et de dorures, étaient en représentation à des moments de la journée précis, repris aujourd’hui dans le déroulement de la journée du restaurant. une journée comme une pièce de théâtre avec des actes et des scènes pour des pauses gastronomiques de très grande envolée. Etiquette et cérémonial, cuisine royale, l’art et la manière du service, de la mise de table et de la tenue à table.

Le lever royal avec petit-déjeuner (viennoiseries, fruits frais, céréales et œufs cuisinés bio, pain perdu au caramel beurre salé et autres grands classiques revisités),

Le déjeuner qui se nommait petit couvert sous louis XIV. au menu servi en deux, trois ou cinq temps comme une valse. À la table du Roi, défilé de grands classiques de la cuisine française, revus, allégés par Alain Ducasse, viandes, gibiers, coquillages, entremets…Galantine de colvert au foie gras et pistaches, Vol-au-vent de tradition, Les Coquillages Saint-Jacques aux topinambours et truffe…

Le Goûter – Les délices de Marie-Antoinette – La faille des robes bruisse, les diamants coulent en rivières, la reine minaude devant sa chocolatière… En hommage à Marie-Antoinette, le tea time déroule finger sandwichs, petits pains briochés à la manière de Vienne, fines gourmandises et chocolat chaud… signé Le Chocolat Alain Ducasse. A savourer en petites gorgées délicates, nature ou parfumé à la fleur d’oranger, comme le préférait Marie-Antoinette.

Le Bar, le lieu de distraction – on y danse, non on y découvre une riche collection de boissons, des cocktails signatures comme le « Flocon royal », champagne versé sur un granité parfumé de saison, accompagné d’un délicieux encas. Royal.

Le diner – Il prend des airs de Grand Souper. Tenue de cour. Au temps du Roi, dans son appartement, se pressaient favorites et courtisans, pages et gardes devant la famille royale, le roi, la reine et le petit prince, dauphin et dauphine, princes et princesses en habits avec flots de dentelles fines, cascades de rubans, rivières de diamants et pierres précieuses, plumes légères et bas de soie. La musique résonnait, ricochait sur les ors et les miroirs. C’était fastueux, somptueux.Aujourd’hui le diner aussi est un spectacle reflet de l’art de vivre royal, à la française. La cuisine et sa présentation sont à image du lieu, la mise en scène est éblouissante voire féérique. Le restaurant reçoit pour des dîners exclusifs comme au temps du Roi. Les mets, très nombreux, sont apportés en vagues successives appelées « services ». Après le service des potages, des entrées puis des rôts (pièces rôties) et salades, vient ensuite celui des entremets, et enfin du fruit (le dessert). Service royal en costumes d’époque, plats en or, argent ou vermeil. C’est Versailles !

Mais derrière le décorum, le théâtral et le grand faste, le vent nouveau du XXI siècle souffle aussi sur le bâtiment qui a adopté les codes, gestes et préoccupations d’aujourd’hui dans un souci de durabilité? C’est ainsi que les lustres ont vu chandelles et ampoules remplacer par des lumières LED et que la démarche zéro plastique est partout, dans les chambres comme dans les cuisines qui naturellement privilegient des produis des potagers du domaine, de producteurs voisins.
il ne vous reste plus qu’à découvrir les nombreux services et les multiples activités offerts par l’établissement, mise à disposition d’un majordome, découverte des jardins à bord de voitures de golf électriques, bateaux électriques sur le Grand Canal, cours individuels de yoga, instants voluptueux au Spa Valmont.