Cuisine Clandestine pour le chef Yannick Delpech – Première ce soir dans sa maison à Gaillac
Le chef toulousain Yannick Delpech s’est lancé un nouveau défi inédit : ouvrir une table d’hôtes dans sa propre maison et réaliser seul la cuisine et le service dans une ambiance on ne peut plus conviviale. La première à lieu ce soir mercredi 12 septembre.
Cuisine Sans Dépendance c’est une nouvelle aventure que tente le chef Delpech, il accueillera les clients chez lui. Le chef étoilé explique simplement le concept : « ce n’est pas du gastronomique, c’est moi qui sert… On ne change pas les verres, on ne change pas les couverts… le but c’est de passer un bon moment autour de la bouffe. Les convives peuvent venir dresser les plats avec moi, discuter des vins et de la cuisine pendant le repas. »
Cuisine clandestine … dans la maison du chef étoilé qui élabore les menus à partir des produits récoltés le jour même directement dans le domaine familial … et cuisine dans sa propre cuisine. Le menu unique, fixé à 65€, sera servi 3 fois par semaine aux 12 convives chanceux d’avoir pu réserver leur place.
Impossible de vous donner l’adresse précise de ce restaurant situé à Gaillac, car le lieu est gardé secret par le chef. Après avoir réservé (par mail ou par SMS uniquement), un simple SMS envoyé deux heures avant le début du repas vous indiquera une position GPS où vous rendre pour déguster les mets préparés par Yannick Delpech.
Restaurant étoilé à Colomiers, guinguette éphémère dans le Tarn, pâtisserie et cuisine de rue à Toulouse, cours de cuisine, le chef cuisinier Yannick Delpech multiplie les expériences, toujours à l’affût d’un nouveau défi.
C’est dans sa propre maison de Gaillac dans le Tarn qu’il accueillera ce soir les convives, pas de personnel, pas de petits plats dans les grands, et des vins sélectionnés par le chef lui-même… Une autre forme de relation avec le client pour ce chef qui compte une étoile au guide Michelin pour l’Amphitryon à Colomiers (après en avoir eu deux) dont il a pris la direction en 1999. Le Tarnais revient donc dans son département d’origine, sans lâcher ses affaires toulousaines, mais avec un retour aux sources du produit et une relation plus proche avec les convives.
Prix unique à 65 euros – Patience pour les plus amateurs, les réservations affichent déjà complet jusque mi-novembre.