Un jour, un livre « Angelina » pour fêter en douceur les 120 ans de la Maison et retrouver les recettes iconiques

25 octobre 2023  0  Une poule sur un mur
 

signature-food-and-sensLa toujours jeune maison Angelina fête ses 120 ans. Quoi de mieux pour marquer cette date qu’un livre ANGELINA, Paris depuis 1903, qui raconte l’histoire de la belle qui n’a rien perdu de son charme désuet, mais boosté par les nécessités d’aujourd’hui. Angelina… Le nom seul fait rêver tous les gourmands du monde, pour qui la découverte de Paris ne serait rien sans une dégustation du mythique chocolat chaud de la maison. A 120 ans, le salon de thé n’a rien perdu de son esprit Belle-Epoque mais il a opéré une subtile révolution pour s’ancrer dans les désirs du moment.  A l’entrée, les longs comptoirs alignent les classiques Mont-Blanc et millefeuilles aux côtés de délicieuses merveilles sucrées renouvelées qui témoignent de la créativité de Christophe Appert, son chef pâtissier.

L’AUTEUR – La plume : Claire Pichon

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LE LIVRE – 256 pages et quelque 1500 grammes de vie en rose, le rose poudré élégant qui habille la couverture, les boites de thé et de macarons. Un grand chapitre dévoile 50 recettes iconiques, monts-blancs, gâteaux de fête, intemporels, gâteaux de voyage, créations artistiques et autres gourmandises.

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LE SUJET – ANGELINA – PARIS – depuis 1903 – Un nom qui se chuchote, Angelina, doux comme un zéphir, chantant pour nommer un cadre somptueux, Belle Époque follement. Une adresse mythique sur l’une des plus prestigieuses avenues de Paris au plus près des Jardins des Tuileries, sous les arcades de la rue de Rivoli. So chic, incontournable.

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Il était une fois un confiseur autrichien, Anton Rumpelmayer, qui jouissait d’une belle notoriété avec les  boutiques qu’il tenait dans le sud de la france . C’était le temps béni de la Belle époque. Poussé par le succès, Rumpelmayer se lance à la conquête de la Capitale française. En 1903, il fonde, au 226 de la rue de Rivoli, à la place de l’hôtel Windsor, un salon de thé. Il en confie la gestion à son fils René dont l’épouse se prénomme Angeline. Ils décident donc quelques années plus tard de baptiser ce salon de thé Angelina. Fort d’un savoir-faire pâtissier et d’une expertise à la hauteur du lieu, il en fait la résidence privilégiée des gourmands et épicuriens. 

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On peut venir à toute heure chez Angelina pour une parenthèse enchantée, bruncher, déjeuner, goûter, se perdre de gourmandise, fondre devant des pâtisseries d’un autre siècle et d’aujourd’hui, s’installer à la place même où l’extravagante Coco Chanel, le délicieux Marcel Proust artistes et écrivains,  doux rêveurs et créateurs de génie tenaient conversation dans un des salons, à la recherche du temps perdu, se retrouvaient pour parler littérature et poésie, refaire le monde, bavarder entre aristocrates bien nés devant le mythique « Mont-Blanc » – légère meringue, douce Chantilly, vermicelles de crème de marron,  pâtisserie signature Angelina, et se délectant d’un chocolat fumant, le fameux chocolat à l’ancienne composé de trois cacaos, « l’Africain ». Aujourd’hui, Angelina est incontournable et Christophe Appert, gardien de cet héritage centenaire, s’applique à toujours y proposer le meilleur de la pâtisserie française.

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LES RECETTES – 50 signées CHRISTOPHE APPERT – un chef-pâtissier fort talentueux qui a adopté les codes de la maison, s’est fondu dans l’institution iconique et petit à petit a fait sa révolution, sans fleuret ni épée, simplement avec un talent fou, une audace mesurée au fil des créations, des collections éphémères. Grand amateur d’art, il a mis au service de la pâtisserie ses connaissances pour, à chaque nouvelle exposition au musée du Luxembourg, créer une pâtisserie dans les tons du thème pour célébrer un artiste, un peintre, une école de peinture. Christophe Appert a revu les classiques – pièces signature centenaires – les a allégées sans rien perdre de leur délice, de leur élégance et de leur excellence. Ses mots d’ordre : simplicité et perfection.

Au fil des pages défilent des armées de Monts-blancs, gâteaux de fête, intemporels, gâteaux de voyage, créations artistiques…

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Le Mont Blanc, la pâtisserie la plus iconique de la maison,  craquant de la meringue, douceur lactée de la chantilly, onctuosité de la crème de marrons… à dévorer seul ou accompagner du chocolat chaud.Christophe Appert le décline à la pistache, à la rose, framboise et litchi…

Gâteaux de fête : Bûche Mont-Blanc, Bûche trois chocolats, Galette amande, Galette chocolat marron, Empreinte

Intemporels : Fraisier, Tarte citron,

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Demoiselle Tatin

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Paris-Brest

 Gâteaux de voyage : Sablé vanille, Finacier vanille, Cake marbré chocolat vanille,

Créations artistiques : Curiosité, Goutal Petite chérie…

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Panache

LES PHOTOS  – AIMERY CHEMIN

L’AVIS DE LA POULE SUR UN MUR – Nous avons tous  en nous, becs sucrés ou pas, quelque chose d’Angelina, un souvenir, le souvenir d’un goûter, d’un chocolat fumant, d’un mont blanc… C’est toujours du bonheur que de s’asseoir à une table du grand salon installé sous les arcades de la rue de Rivoli, de regarder le ballet du personnel qui va et vient entre les colonnes, les différents salons, les gourmands qui mangent des yeux les macarons, monts blancs et autres délices. Depuis 1903, 120 ans, le salon de thé s’est imposé comme un lieu gourmand et raffiné, l’incontournable rendez-vous dans un décor, conçu par le célèbre architecte de la Belle Epoque Edouard-Jean Niermans, qui mêle élégance, charme et raffinement. Angelina, c’est une véritable poésie romantique, un espace de calme et de volupté, entre sérénité et gourmandise. Des moments de rêve charmant, hors du temps, à retrouver dans le livre, intemporel et subtilement élégant. A s’offrir et offrir sans hésitation.

ANGELINA PARIS 1903 – ÉDITIONS de LA MARTINIÈRE – 39,90€

ANGELINA Paris 226 rue de Rivoli

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