Palace Parisien la concurrence est rude – «Si un nouvel attentat survient, je pars vendre des bananes.», c’est sur Libé et c’est à lire !

29 mars 2017  1  DÉNICHÉ SUR LE WEB
 

signature-food-and-sens Article bien fouillé sur la situation des Palaces à Paris sur le quotidien Libération, avec un parc hôtelier haut de gamme qui ne cesse d’augmenter et une fréquentation qui baisse, les places parisiens doivent avoir une vision à long terme et renouveler leur offre pour continuer à exister sur un marché hyper concurrentiel .

Attentats, insécurité, grèves, manifestations, vols, l’image de Paris est écornée, au mieux il faudra 5 ans pour la reconstruire, et tout ça dans le cas où bien sûr les malaises de Paris sont définitivement réparés !

EXTRAIT – Lisez ci-dessous l’article de Libé où cliquez sur le LINK pour retrouver l’intégralité de la publication.

A coups de centaines de millions d’euros, les hôtels hyper luxe de la capitale tentent de reconquérir les touristes échaudés par les attentats de ces dernières années.

Alors que le Crillon va rouvrir ses portes après quatre ans de travaux, que les grues s’activent au-dessus du Lutetia et que le groupe LVMH a annoncé l’inauguration de son fastueux Cheval blanc en 2018, un responsable d’un palace en activité soupire : «Si un nouvel attentat survient, je pars vendre des bananes.» Car les plus luxueux hôtels de France, pour qui la distinction «palace» a été créée en 2010 afin de les distinguer des cinq étoiles, sont confrontés au pire scénario : une augmentation drastique de l’offre en même temps qu’une désertion des clients. Le marché a été révolutionné en quelques années, poussant chaque concurrent à redoubler d’efforts et à se lancer dans des investissements colossaux, dont la rentabilité reste à prouver.

A la fin des années 2000, les investisseurs constatent un manque : l’offre de chambres de super luxe à Paris, capitale mondiale du tourisme, est trop restreinte. «Les grandes dames – le Meurice, le Plaza Athénée, le George-V, le Bristol, le Ritz – étaient là. Mais il y avait un tel engouement autour de Paris qu’on s’est dit qu’il y avait de la place pour tout le monde», explique Solène David, directrice de la communication du Peninsula.

Avec le Shangri-La et le Mandarin Oriental, cet établissement fait partie de la vague de palaces asiatiques débarqués entre 2011 et 2014 pour faire concurrence aux adresses historiques. Outre ces nouvelles enseignes, d’autres sont montées en gamme comme le Royal Monceau, qui est passé de 350 à plus de 800 euros en moyenne la nuit – il faut bien rentabiliser les investissements engagés, environ 100 millions d’euros, pour le repositionnement. Bilan des opérations : alors qu’à Paris, en 2009, on comptait 1 150 chambres de grand standing (de 800 à 1 000 euros la nuit), en 2018, après la réouverture des palaces encore en travaux (le Crillon, le Lutetia, le Cheval blanc), on atteindra environ 1 800 chambres, soit 55 % de plus. Et une petite quinzaine de palaces au total.

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