Thierry Marx … son passé refait surface dans » On ne meurt pas la bouche pleine «
Le chef Thierry Marx sort son livre, » On ne meurt pas la bouche pleine » aux éditions SANG NEUF, l’occasion pour le chef de revenir sur son adolescence de jeune de banlieue perturbé par cette délinquance qui hantait son entourage.
Suite à l’interview que lui a consacré le magazine VSD cette semaine, le chef fait la une de la presse people … F&S a sélectionné quelques titres qui valent leur pesant de gamelles !
Son rôle de juré dans « Top Chef » sur M6 lui a collé l’image de cuisinier star de la télé, mais Thierry Marx est un homme bien plus compliqué à croquer. Alors qu’il publie « On ne meurt pas la bouche pleine » aux éditions Sang neuf, il se confie sur son passé tourmenté dans la cité du Bois-l’Abbé à Champigny.
Une adolescence passée en partie à « hanter les cages d’escaliers ». « Bien sûr qu’on a flirté avec la délinquance. On aurait d’ailleurs tous pu basculer dans les grosses conneries, la toxicomanie. On a eu la chance de se limiter aux vols de mobylettes, de bagnoles, à la baston. À marquer notre territoire », raconte-t-il dans une interview accordée à VSD, avant d’évoquer les grands moments de tension de ces années noires. »C’était violent entre les Gitans et les gens des cités » : « Souvent le vendredi soir, on se retrouvait aux Halles pour se foutre sur la gueule, pour faire chier tout le monde », raconte dans le magazine l’homme de 58 ans.
Avant, la cuisine, c’est le sport qui va lui permettre de s’en sortir, notamment le jiu-jitsu, et d’éviter de passer par la case prison. Un lieu qu’il lui arrive néanmoins parfois de fréquenter pour transmettre ses talents culinaires aux détenus qui le souhaitent.
Son rôle de juré dans « Top Chef » sur M6 lui a collé l’image de cuisinier star de la télé, mais Thierry Marx est un homme bien plus compliqué à croquer. Alors qu’il publie « On ne meurt pas la bouche pleine » aux éditions Sang neuf, il se confie sur son passé tourmenté dans la cité du Bois-l’Abbé à Champigny.
Une adolescence passée en partie à « hanter les cages d’escaliers ». « Bien sûr qu’on a flirté avec la délinquance. On aurait d’ailleurs tous pu basculer dans les grosses conneries, la toxicomanie. On a eu la chance de se limiter aux vols de mobylettes, de bagnoles, à la baston. À marquer notre territoire », raconte-t-il dans une interview accordée à VSD, avant d’évoquer les grands moments de tension de ces années noires.
« C’était violent entre les Gitans et les gens des cités » : « Souvent le vendredi soir, on se retrouvait aux Halles pour se foutre sur la gueule, pour faire chier tout le monde », raconte dans le magazine l’homme de 58 ans. Avant, la cuisine, c’est le sport qui va lui permettre de s’en sortir, notamment le jiu-jitsu, et d’éviter de passer par la case prison. Un lieu qu’il lui arrive néanmoins parfois de fréquenter pour transmettre ses talents culinaires aux détenus qui le souhaitent.
Le chef a fait des révélations déroutantes.
On connaît Thierry Marx le cuisinier, mais pas Thierry Marx l’auteur et encore moins… l’enfant terrible. À l’occasion de la sortie de son livre On ne meurt pas la bouche pleine (éditions Sang neuf), l’ancien membre du jury de Top Chef(M6) s’est confié sur le fait qu’il ne s’était pas toujours tenu à carreau quand il était plus jeune et qu’il habitait dans la cité du Bois-l’Abbé.
« Les gens n’avaient pas de boulot, restaient dans la cité et c’est comme ça qu’on a commencé à hanter les cages d’escalier. On n’en bougeait pas. Bien sûr qu’on a flirté avec la délinquance. On aurait d’ailleurs tous pu basculer dans les grosses conneries, la toxicomanie. On a eu la chance de se limiter aux vols de mobylettes, de bagnoles, à la baston. À marquer notre territoire. Les caves étaient marquées, mais pas trop encore« , a confié Thierry Marx dans un premier temps. …/…