Les scandaleux prix de la FOOD et du Snaking dans les avions low-cost
C’est une étude diffusée par le blog du site de voyage Kayak.fr qui a fait un comparatif des prix de la FOOd et du snaking dans les avions low cost, où il faut payer ses consommations… les prix atteignent les sommets !
Intéressant de savoir au moment où vous allez partir en vacances !
Snacks dans l’avion : des prix au sommet
Les compagnies low-cost proposent de nos jours de nombreux itinéraires pour des vols courts à des prix défiant toute concurrence. Vous avez sans doute déjà emprunté un de ces avions pour des vacances en famille, un week-end en amoureux ou un rendez-vous d’affaires. Et bien sûr, après une heure de vol votre estomac commence à crier famine, et une fois quelques chips avalées, la soif se fait sentir… c’est à ce moment là que votre porte-monnaie trinque.
Si l’on s’attend souvent à payer ses collations et boissons plus cher que la normale, la différence est parfois flagrante. En nous penchant sur les chiffres, nous avons découvert que les prix s’envolent littéralement dans certains cas, avec des snacks vendus jusqu’à 2500 % plus cher qu’en supermarché.
Une addition plus que salée
Les snacks salés remportent la palme de la plus grande différence de prix. Par exemple, Transavia et XL Airways facturent un paquet de chips 587 % plus cher que le même produit en supermarché. Un sachet d’olives coûte environ 1733 % plus cher sur un vol easyJet qu’en supermarché. De même, un paquet de cacahuètes coûte jusqu’à 2,50 € les 40 g (6,25 € les 100 g) sur un vol low-cost, alors que son prix en supermarché est de seulement 24 centimes les 100 g – soit une augmentation de 2504 %.
Des prix pas si doux
Le sucré n’est pas en reste : un croissant sur un vol Ryanair est facturé 2,50 € contre 17 centimes en supermarché, ce qui correspond à une augmentation de 1370 %. Un muffin frôle les 650 % d’augmentation chez easyJet, à 3 € contre 40 centimes en magasin. Les barres chocolatées atteignent environ les 500 % d’augmentation sur la plupart des compagnies low-cost : une barre chocolatée coûte par exemple 488 % plus cher sur Ryanair qu’en supermarché (2 € contre 0,30 €) . Les bonbons arrivent juste derrière, avec un sachet de 120 g à 72 centimes en supermarché contre 3 € pour la même marque sur XL airways – soit plus de trois fois plus cher.
Envolée dans les boissons
Les prix des boissons, alcoolisées ou non, ont de quoi couper la soif de plus d’un voyageur. Une petite bouteille de jus d’orange (250 ml) coûte jusqu’à 3,50 € sur un vol low-cost, tandis qu’un litre s’élève à peine à 2,33 € en supermarché, soit une augmentation de 500 %. Dans le cas de l’eau pétillante, une bouteille de 50 cl coûte 3 € sur les vols Transavia, soit 700 % plus cher qu’en magasin.
Les boissons alcoolisées font tourner la tête pour plus d’une raison : une canette de bière de 33 cl coûte jusqu’à 4,50 € sur un vol low-cost, tandis qu’une canette de la même marque ne revient qu’à 64 centimes en supermarché, soit une différence de plus de 600 %. Bien plus impressionnant encore, le vin est facturé jusqu’à 1400 % plus cher sur les compagnies low-cost qu’en magasin.
Si la restauration à bord est un service supplémentaire que les compagnies aériennes fournissent, ce qui explique une partie des différences de prix, sachez que vous êtes autorisé à passer les contrôles de sécurité avec de la nourriture. Cela peut donc être une bonne idée de prévoir à l’avance et d’emporter vos propres provisions. En ce qui concerne les boissons, vous pouvez contourner les prix élevés affichés par les compagnies en achetant vos rafraîchissements dans le terminal après avoir franchi la sécurité. Bon voyage !