» Dans cette débâcle inédite, les chefs peinent à s’unir et à parler d’une même voix «
C’est dans les pages du quotidien Le Monde que l’on a pu constater dans un article paru ce 20 mai que l’ensemble de la profession de chefs et restaurateurs ne parlent pas d’une seule et même voix, d’ailleurs, elle ne l’a jamais fait dans son histoire, seul Paul Bocuse pouvait gérer les disparités d’avis sur certains sujets.
Tous différents, tous font face à des problématiques éloignées, que ce soit celui qui est en zone urbaine ou au coeur de la campagne française, celui qui est à Marseille et celui qui est à Paris, celui qui a des étoiles et celui qui n’en a pas, celui qui est en capacité de servir 30 couverts par jour et celui qui en sert 800 … Chaque établissement a son histoire, chaque cuisine a une identité.
Et puis, il y a les têtes d’affiches, les grands étoilés, les discrets et les grandes gueules, les influents et les businessmen, mais aussi les groupes hôteliers, les groupes de restauration, les syndicats professionnels, … enfin un vrai casse-tête, impossible de se parler ? Pas vraiment, mais les avis divergent profondément, donc le débat a lieu ce qui ouvre une brèche dans les revendications face à un Gouvernement qui observe, consulte et compte les points avant de trancher.
« Alain, c’est un cauchemar national et universel. Et de la crêperie au trois-étoiles, on est tous concernés, tous fermés, tous dans la merde. » – « Alain », c’est Ducasse. Et celui qui l’apostrophe ainsi, c’est Philippe Etchebest, également invité le 22 avril dans l’émission « C à vous » sur France 5. …/…
Retrouvez l’article en cliquant ICI … vous découvrirez les témoignanges des chefs Yves Camdeborde, Guillaume Sanchez, Pierre Gagnaire, Emmanuel Renaut, …