La Vache qui rit, qui fêtera ses 100 ans l’année prochaine, n’avait plus connu de relooking majeur depuis 1985. Après avoir adopté une recette sans conservateurs ni colorants en 2018 et lancé une gamme « bio » l’an passé, le groupe Bel a décidé d’offrir une nouvelle jeunesse à son fromage emblématique via un logo plus épuré, rapportent Les Echos. Créée en 1921 par l’illustrateur Benjamin Rabier, la Vache qui rit conservera sa couleur rouge emblématique. Exit en revanche le triangle présent sur l’emballage pour rappeler la forme de la portion de fromage. L’agence de design Team Créatif, à l’origine de ce nouveau packaging, a également supprimé les vertes prairies visibles en arrière-plan. Elles seront remplacées par un fond blanc et une marguerite sur le côté droit. Quant aux 4 étoiles apparus en 1955, elles demeurent sur la boîte mais prennent désormais une couleur dorée. Uniformisation – Avec ce nouveau design, l’objectif est d’uniformiser l’image de la Vache qui rit partout dans le monde alors qu’elle adoptait jusqu’à présent une apparence différente dans les 136 pays où elle est commercialisée. …/… Pour lire la suite cliquez ICI
Revue de presse de la semaine – Reprise en demi-teinte pour la restauration – Les terrasses parisiennes ne sont pas rentables en l’état – Des livreurs sans-papiers chez Frichti – Le retour des légumes et fruits d’ailleurs dans les supermarchés – Le Portugal bon élève pendant le Covid décroche le prix “Safe Travels” – …
« La Revue de presse de la semaine ». Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Un monde qui bouge en permanence.
VOICI – Un début prometteur pour l’ouverture des restaurants, mais une suite inquiétante – Par la rédaction
Philippe Etchebest a pu rouvrir son restaurant à Bordeaux, mais les dégâts de la crise sanitaire se font encore sentir. Si les clients sont revenus dans un premier temps, la fréquentation commence déjà à s’essouffler, ce qui est loin d’être bon signe… Depuis l’annonce du confinement, Philippe Etchebest s’est imposé comme une des voix les plus puissantes pour témoigner de la crise que traverse tout le secteur de l’hôtellerie-restauration. Le juré de Top Chef a multiplié les alertes, les appels à l’aide et a longuement échangé avec le gouvernement pour demander une réouverture des restaurants au plus vite, dans les plus sûres conditions pour les clients et le personnel. Le 2 juin dernier, lui et tous les restaurateurs situés en zone verte ont pu rouvrir leurs établissements. Sa brasserie chic Le Quatrième mur et sa table gastronomique étoilée ont pu à nouveau accueillir des clients. Un soulagement pour le chef et son équipe… mais qui n’aura été que de courte durée. « Cette reprise est en demi-teinte car les clients ne sont pas non pas au rendez-vous comme on aurait pu l’espérer, regrette Philippe Etchebest ce 8 juin auprès de Télé-Loisirs. Le premier jour, il y a eu l’euphorie mais la fréquentation a tendance à diminuer petit à petit, les chiffres le prouvent. » …/… Pour lire la suite de l’article cliquez ICI
CAPITAL –
L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie demande une ouverture complète des établissements situés en zone orange, comme par exemple en Île-de-France. Cafés, bars et restaurants d’Ile-de-France et des autres zones « oranges » doivent « rouvrir rapidement » car leur exploitation, « limitée aux seules terrasses », n’est « pas rentable » affirme l’Umih, principal syndicat du secteur, qui veut aussi voir assoupli le protocole sanitaire sur tout le territoire. « Trop de chefs d’entreprises indiquent ne pouvoir rouvrir leurs restaurants car la limite des terrasses n’est pas rentable pour leur activité », affirme lundi l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) dans un communiqué. « Cette demi-ouverture ne créée que des frustrations au sein des professionnels », poursuit-elle, demandant « une réouverture rapide des établissements situés en zone orange » en raison d’une circulation du Covid-19 plus forte qu’ailleurs: l’Ile-de-France, la Guyane et Mayotte. Le syndicat patronal souhaite que le gouvernement évalue la propagation de l’épidémie avant le 22 juin, d’autant que le conseil scientifique « préconise un retour à l’équilibre entre les précautions sanitaires et la reprise de la vie économique de notre pays », dit-il. …/… Pour lire la suite de l’article cliquez ICI
LE MONDE – Chez Frichti de nombreux livreurs sont sans papier – Par Julia Pascual
« Livreur de bonheur », dit l’inscription au dos du gilet jaune. Ils sont plus d’une centaine à arborer, ce lundi 8 juin, l’uniforme aux couleurs de la société de préparation et de livraison de repas Frichti. Réunis devant un des établissements de la start-up française, dans le 1er arrondissement de Paris, tous sont livreurs à vélo ou à scooter, certains depuis parfois plusieurs années. Et tous sont en situation irrégulière. Ils exigent aujourd’hui d’être reconnus comme salariés de Frichti et régularisés alors que, depuis une semaine, l’enseigne a décidé de mettre fin à sa collaboration avec ces travailleurs. L’entreprise, fondée en 2015, qui fait travailler environ 500 autoentrepreneurs et sociétés prestataires, a expliqué, dans un communiqué daté du 8 juin, avoir pris connaissance, à la suite d’un contrôle début juin, du fait « que certains partenaires n’étaient plus en capacité de présenter une situation régulière ». Un article dans Libération, le 1er juin, a relayé le témoignage d’un livreur sans-papiers. Frichti a alors décidé de contrôler la situation des livreurs. Ce qui a eu pour conséquence de mettre une partie d’entre eux sur le carreau. « Ces cas portent sur une proportion très réduite des autoentrepreneurs effectuant des activités de livraison pour Frichti, la très grande majorité d’entre eux présentant une situation conforme à la loi », assure l’entreprise dans son communiqué. « Nous sommes entre 300 et 500 dans cette situation », estime au contraire Ibrahim Keita, un livreur de 31 ans originaire de Côte d’Ivoire. …/… Pour retrouver la suite de l’article Cliquez ICI
MARIANNE – Le grand retour des produits frais venant de l’étranger dans les supermarchés – Par Géraldine Meignan
Les grandes enseignes ont ouvert grand leurs portes aux agriculteurs français. Mais, depuis, le déconfinement, les bonnes vieilles habitudes reprennent le dessus avec des fruits et légumes venus de très loin, au grand dam de la ferme France. C’est un hypermarché Auchan de l’agglomération niçoise construit dans une zone commerciale sur les hauteurs de la ville. A l’aube, depuis le début de la crise sanitaire, le parking est devenu le théâtre d’un étrange ballet de camionnettes venues des environs avec, à leur bord, des cageots remplis de fraises, d’asperges, d’artichauts violets, de carottes fanes et autres primeurs. Des fruits et légumes du coin, cueillis à maturité et achetés directement auprès des producteurs, que l’on retrouvera quelques heures plus tard, bien en vue, sur les étals de la grande surface. Son directeur, Philippe Laurent, fait partie de ces patrons de magasins qui ont largement répondu à l’appel lancé par Bruno Le Maire le 24 mars. En soutien aux agriculteurs privés de débouchés par la fermeture des restaurants, des cantines et des marchés de plein air, le ministre de l’Economie leur a demandé de s’approvisionner désormais en produits d’origine France. « Avec notre bureau d’achat d’Avignon, nous avons immédiatement mis en place des procédures simplifiées, ce qui nous a permis de référencer en quarante-huit heures de nouveaux fournisseurs », raconte Philippe Laurent…. Pour retrouver la suite de l’article cliquez ICI
GQ MAGAZINE – Nicolai Ellitsgaard chef d’un restaurant sous-marin – Par GQ native
Under, le premier restaurant sous-marin d’Europe, a ouvert en avril 2019. GQ a rencontré Nicolai Ellitsgaard, le chef de cet établissement immergé à 5 mètres de profondeur, du côté de Lindesnes, au sud de la Norvège. Le cap le plus au sud de la Norvège a la réputation d’être aussi beau qu’éloigné. Avec son littoral rocheux et son phare centenaire de Lindesnes, la région connue sous le nom de détroit de Skagerrak, a une vie aquatique d’une diversité époustouflante. Dans ces eaux de l’Atlantique Nord, les visiteurs peuvent, chaque jour, observer des phoques, des dauphins et même des aigles de mer. “Nous avons la plus grande variété de créatures océaniques, explique le chef Nicolai Ellitsgaard. Presque toutes les espèces de Norvège sont ici.”Il sait de quoi il parle. Le cuisinier danois est à la tête du restaurant “Under” (“merveille” en français), le plus grand restaurant sous-marin du monde et le premier restaurant du genre en Europe. Il a ouvert ses portes dans la petite communauté côtière de Bålyveien au printemps 2019 et vient juste d’obtenir sa première étoile au Guide Michelin. Grâce à la richesse de ces eaux, le méticuleux chef, anciennement au Måltid à Kristiansand, sert à une quarantaine de convives un sublime menu “submergé” comprenant jusqu’à 20 plats, tout droit venu des vagues.
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SUD-OUEST – Planter de la vigne en Bretagne ! – Par la rédaction
Faire revivre la vigne à Sarzeau (Morbihan) n’est plus un rêve. C’est devenu une réalité depuis la plantation de 27 500 pieds, sur 6 ha, au Poulhors. « C’est un long processus qui aboutit aujourd’hui, indique le maire de la commune, David Lappartient. Avec la plantation qui vient de se terminer, la vigne reprend vie à Sarzeau. La commune renoue ainsi avec son histoire viticole. Il s’agit de la création d’une véritable activité économique agricole professionnelle qui va progressivement monter en puissance. Nous partageons avec les exploitants la même vision pragmatique avec un objectif entrepreneurial. »En 2014, la commune a étudié la faisabilité juridique, économique et agronomique de la réactivation d’une activité professionnelle vitivinicole locale, en partenariat avec le parc naturel régional du golfe du Morbihan (PNR), l’école supérieure d’agriculture d’Angers (Maine-et-Loire) et la cellule Territoire viticole. La taille des ceps dès cet hiver – La commune a dégagé un budget d’un million d’euros qui prend en charge toutes les études préalables, la plantation des pieds de vigne, la réalisation des chais et la restauration d’un ancien moulin à vent qui pourrait servir de point de repère emblématique du futur vignoble. Un terrain attenant de 4 ha supplémentaires, encore disponible, pourrait être planté plus tard pour augmenter la production. …/… Pour lire la suite cliquez ICI
COURRIER INTERNATIONAL – – Par Vincent Barros
Ce label renforce encore l’image de destination sûre du pays, qui avait pris les devants en mettant en place, dès le 24 avril, un protocole sanitaire pour relancer le tourisme. Rassurant aussi pour les Français qui veulent s’y installer. Une juste récompense des efforts du Portugal. Le pays, le premier en Europe, vient de décrocher le label “Safe Travels”, rapporte ce vendredi 5 juin le site économique portugais Eco. Un label décerné par le World Travel & Tourism Council (WTTC), une association fondée en 1990 à Bruxelles et qui regroupe plus de 200 entreprises du secteur du tourisme, parmi les plus importantes du monde. Cette distinction renforce encore l’image de destination sûre du Portugal, essentielle dans le contexte pandémique. Le gouvernement s’en félicite dans un communiqué, et revient sur les règles d’obtention…. /… Pour lire la suite de l’article cliquez ICI
BFMTV – La Vache qui Rit …. retrouve le sourire … – Par la rédaction
La marque du groupe Bel a décidé de s’offrir un nouvel emballage, un an avant son centenaire.