La Revue de Presse de la semaine – Bordeaux, disparition de Jean Ramet, Jérôme Banctel Prix Collet, Jean-François Piège :  » la cuisine ce n’est pas de l’égo « , Les 50 ans du Gault&Millau, son défi : travailler chez 20 chefs étoilés, …

16 décembre 2019  0  Chefs & Actualités F&S LIVE
 

signature-food-and-sens Nouvelle rubrique hebdomadaire sur F&S : « La Revue de presse de la semaine ». Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité des chefs ou de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Une façon de plus de mettre en avant le travail des chefs, leur talent, leur créativité, dans un monde qui bouge en permanence. Et une preuve de plus (s’il en fallait) que la cuisine est aussi dans le mouvement ! 

SUD-OUESTDisparition du chef Jean Ramet –par Benoît Lasserre

Le restaurant du chef bordelais Jean Ramet était une institution gastronomique Un an et demi après Jean-Marie Amat, c’est une autre grande figure de la gastronomie bordelaise qui vient de disparaître à l’âge de 70 ans (il était né le 17 septembre 1949). Jean Ramet appartenait à cette génération des Amat, des Francis Garcia, des Michel Gautier ou des Michel Bordage qui, les premiers, ont attiré sur le port de la lune l’oeil et le palais des critiques gastronomiques parisiens.  D’abord apprenti pâtissier, Jean Ramet avait ensuite fait ses classes chez Troisgros à Roanne, puis chez Guérard au «  Pot-au-feu » à Asnières, la première adresse, avant Eugénie-les-Bains, du plus ancien triple étoilé de France, et enfin chez Lasserre, avant un retour à Bordeaux au Chapon fin. Pour lire la suite cliquez ICI

 

L’EXPRESS – La Cuisine  » réchauffe-coeur » de Grégory Marchand – Par ÉZÉCHIEL ZÉRAH

De toutes les cuisines de chefs étoilés à Paris, celle de Grégory Marchand reste la plus savoureuse et la plus gaie. Une vision ludique et affective qui prend source dans l’itinéraire cosmopolite de cet attachant personnage.

Des nuggets de ris de veau croustillants sauce gribiche : voilà bien un plat qui définit Grégory Marchand. La cuisine française, oui, mais « always with a twist », dit-il. A 41 ans, le chef du restaurant parisien Frenchie allie son bagage classique français et ses inspirations issues d’un parcours très international. Après un bac pro, le Nantais s’envole pour l’Ecosse à la fin des années 1990, avant de poser longuement ses valises à Londres, auprès, notamment, du chef star Jamie Oliver. Son CV compte aussi des expériences chez Marbella (un coffee-shop australien), à Hongkong, dans un hôtel de luxe, et à New York, au sein de l’emblématique Gramercy Tavern. « C’était hyperatypique, surtout à l’époque, mais je n’avais pas d’attachement en France », confie pudiquement celui qui fut un enfant de la Ddass. Sa bourlingue prend fin en 2009, avec la création du Frenchie, rue du Nil, à Paris, une table gastronomique confidentielle aux recettes instinctives. Deux ans plus tard, place au bar à vins avec des intitulés à mi-chemin entre l’Hexagone et les terres anglo-saxonnes: terrine de campagne et sauce piccalilli vinaigrée, stilton et dorstone en provenance d’un fromager londonien, banoffee pie et omelette norvégienne… Pour lire la suite cliquez ICI

 

LE MONDE –  – Par Zineb Dryef

Yotam Ottolenghi en rigole encore. L’enseignement des cuisines du monde avait duré… une journée. « Soit quelques heures pour aborder les gastronomies de Chine, d’Italie, de Grèce, etc. » Lorsque, à 29 ans, le jeune Israélien, fraîchement débarqué à Londres, s’inscrit au Cordon Bleu, école française prestigieuse, fière de son enseignement traditionnel des arts culinaires, il songe qu’un monde le sépare de cette cuisine bourgeoise obsédée par la sophistication à l’extrême. Il en admire l’excellence des techniques et la pâtisserie, dont il juge qu’elle est indépassable, mais « ce temps fou perdu à couper les légumes – en brunoise, en julienne… Je n’ai jamais compris cet impératif de présenter les légumes sous une forme qui n’est pas la leur ».

Ce souvenir fait également sourire Yotam Ottolenghi ce matin de novembre, à quelques semaines de son cinquante et unième anniversaire. Plus de vingt années ont passé. Il n’est plus un jeune apprenti cuisinier, débarqué dans un autre monde, mais un chef multipropriétaire (six établissements huppés à Londres) et auteur de livres culinaires vendus à 7 millions d’exemplaires dans vingt-quatre pays. Un celebrity chef adulé outre-Manche. Pour lire la suite cliquez ICI

 

LA DÉPÊCHE – Repas solidaire avec les Bouffons de la cuisine –

Mardi 17 décembre, à 12 h, au Foyer Ste-Cécile, se tiendra le premier repas de fête solidaire organisé par les Bouffons de la cuisine, la Croix-Rouge et la ville de Carmaux. Et ce repas festif et solidaire sera concocté par trois chefs du Tarn particulièrement talentueux, Michel Belin, meilleur chocolatier-pâtissier de France d’Albi, Gérard Garrigues, du restaurant Le Ménagier à Castelnau-de-Montmiral, et Arnaud Caré, du restaurant Le Café de Paris à Brassac. L’association Les Bouffons de la cuisine, fondée par le chef doublement étoilé Michel Trama, est une association qui réunit des chefs et autres bénévoles qui ont du cœur. Pour lire la suite cliquez ICI

 

SUD RADIO – Jean-François Piège :  » je ne fais pas de la télé, je fais de la cuisine à la télé  » 

Jean-Francois Piège était l’invité de Valérie Expert et Gilles Ganzmann sur Sud Radio le 9 décembre dans « Le 10h – midi ». Il sera opposé à Cyril Lignac dans l’émission « Chef contre chef », diffusée le 12 décembre à 21h05 sur M6, sur le thème de la gastronomie italienne. Dans la nouvelle émission culinaire « Chef contre chef », Cyril Lignac et Jean-François Piège partent en road-trip en Italie à la découverte de la cuisine Italienne. « On ressent l’émotion dans votre regard, l’envie de faire plaisir et la passion de la cuisine », confie Valérie Expert à son invité, Jean-François Piège. « Ce n’est pas de l’égo la cuisine, collectionner les étoiles ou les restaurants, mais c’est la volonté de faire plaisir« , confirme-t-il. Pour lire la suite cliquez ICI.

 

RÉFÉRENCE CHR – Jérôme Banctel : 7ème Lauréat du prix Champagne Collet

Après une délibération, c’est Jérôme Banctel, Chef du Gabriel** à La Réserve (Paris) qui remporte cette 7ème édition Jérôme Banctel : 7ème Lauréat du Prix Champagne Collet Du Livre De Chef, avec son livre Jérôme Banctel – La Réserve Paris, aux éditions Flammarion. Ainsi le lundi 9 décembre, les Chefs Jérôme Banctel et Yann Couvreur recevaient des mains d’Olivier Charriaud, Président du jury et Directeur Général de Champagne Collet, les Prix Champagne Collet du Livre de Chef et du Livre de Pâtissier pour leurs ouvrages respectifs « Jérôme Banctel, La Réserve » (Flammarion) et « Ephémère » (Solar). Pour lire la suite cliquez ICI

 

FRANCE CULTURE – Les cinquante ans du Gault&Millau

Le Gault & Millau fête cette année ses cinquante ans. L’occasion de revenir dans cette émission sur l’histoire et l’évolution du guide devenu, un demi-siècle après sa création, une boussole incontournable du monde gastronomique.

  • Avec Marc Esquerré, directeur du Gault & Millau.
  • Jean-Bernard Magescas, chroniqueur « Saveurs » de l’Opinion.
  • et Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or à Saint-Tropez et désigné chef de l’année par le Gault & Millau. Pour lire la suite et écouter le podcast Cliquez ICI 

 

LA PROVENCE – 4 chefs partagent leurs bons plans pour les Fêtes

Ils partagent avec nous des bons plans qui permettent de faire passer un plat traditionnel à une autre dimension. On les écoute, on met en œuvre leurs instructions pour servir le meilleur à la table des fêtes. Pour lire la suite cliquez ICI.

 

LE PROGRÈS –  Joël Césari cuisine pour les enfants des seniors de Dole –  Joëlle PERRIN

Les repas servis lundi 9 décembre dans les cantines des écoles de la ville, ainsi qu’aux personnes âgées bénéficiaires, auront une saveur particulière. Ils ont été élaborés avec la collaboration exceptionnelle du chef de La Chaumière, Joël Césari, une étoile au guide Michelin. LLundi 9 décembre, les élèves des écoles, les séniors des résidences autonomie et tous ceux qui ont leur repas de midi servi par la Grande tablée, vont déguster un menu élaboré et préparé par le chef étoilé Joël Césari, de l’hôtel-restaurant La Chaumière. Le chef de La Grande tablée, Stéphane Chopard, confiait son stress car il allait cuisiner avec « un grand chef ». Pour lire la suite de l’article cliquez ICI.

 

OUEST FRANCE

Il s’est lancé un défi pour le moins original. En vingt jours, Alain Crivelli va s’immiscer dans les cuisines de vingt restaurants étoilés. Le 15 décembre 2019, le chef de la Ville Blanche, à Rospez (Côtes-d’Armor) lui a ouvert ses portes.  » chez combien de chef étoilés peut-on travailler dans sa vie ? « , a demandé un jour Alain Crivelli, Finistérien d’adoption, à son ami Yvon Morvan, ex-chef étoilé.  » Quatre ou cinq, maximum « … Pour lire la suite de l’article cliquez ICI.

 

FACEBOOK TWITTER
VOTRE CLASSEMENT
  • Je suis fan (0%)
  • Mmmm interessant (0%)
  • Amusant décalé (0%)
  • Inquiétant (0%)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *