La Presse en Parle … : Adrien et Mallory ouvrent une friterie éphémère à Paris – Michel Sarran perd 200 000 euros – La Reine Élisabeth va vendre du Gin –  Christian Sinicropi portait d’un artiste – Il transforme ses pommes de terre en vin -…

  « La Revue de presse ». Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Un monde qui bouge en permanence.

L’INDÉPENDANT – Ils ouvrent une friterie éphémère – Par la rédaction

Les deux candidats de la saison 11 animent l’été parisien. Ils ont ouvert jeudi un restaurant éphémère baptisé 140° Street et installé sur la péniche L’Atelier sur la Seine. Lors de la mythique épreuve du concours Top Chef 2020, « La Guerre des Restos« , les deux chefs avaient conçu ensemble une friterie gastronomique et moderne. Ce restaurant avait tellement plu au jury que les deux candidats ont décidé d’aller au bout du concept en ouvrant une fritterie éphémère, pendant  deux semaines seulement, sur le quai de la Tournelle, à deux pas de Notre-Dame. Dès l’ouverture, ce 16 juillet, une file interminable s’est formée devant la péniche. Avec un public impatient de goûter à la cuisine de Mallory, demi-finaliste, et d’Adrien, finaliste de Top Chef saison 11. « On a eu une semaine pour ouvrir, donc ça s’est passé un peu vite, concède Adrien Cachot, finaliste de top Chef saison 11. On n’a pas eu le temps de vraiment s’organiser », racontent-ils à nos confrères de RTL Info. Pour lire la suite de l’article cliquez ICI

 

VANITYFRAIR – La Reine Elisabeth va vendre du Gin – Business – Business ! – Par la rédaction

La reine d’Angleterre n’a pas perdu de temps pour trouver une nouvelle source de revenu suite à la crise du coronavirus, qui a fortement impacter l’économie mondiale. Condé Nast Traveler a annoncé que la Royal Collection Trust, qui entretient tout le patrimoine de la reine, a lancé sa ligne de gin en collaboration avec Élisabeth II qui en est une grande amatrice. …/… Pour lire la suite cliquez ICI

 

COURRIER INTERNATIONAL – Gastronomie, retour à la case départ  – Par Claire Carrard

Chaque semaine, Courrier international explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent parfois dans la rédaction. Dans ce numéro, nous nous sommes intéressés aux restaurants (qui viennent de rouvrir en France) et qui partout dans le monde ont été très fortement affectés par la crise sanitaire. Comment peuvent-ils se relever ? De Lima à Copenhague, la gastronomie doit se réinventer. Le décryptage de la presse étrangère. C’est un magazine un peu particulier que nous avons voulu vous proposer cette semaine. Un premier numéro d’un été décalé. Avec en couverture un sujet a priori “plus léger” (encore que) : le retour au resto et le nouveau visage de la gastronomie. Les restaurants ont été parmi les derniers lieux à rouvrir après le déconfinement. Un journaliste du Guardian s’en émeut en redécouvrant le charme des terrasses, sans lesquelles Paris ne serait pas tout à fait Paris, un autre raconte dans ces pages le simple plaisir de retrouver son restaurant préféré à Londres et ses fameuses pâtes aux crevettes. Le plaisir, le goût, la convivialité, voilà tout ce qui nous a manqué pendant ces derniers mois. Et pourtant, les retrouvailles ne seront pas forcément faciles. …/… Pour lire la suite cliquez ICI.

 

LE PETIT JOURNAL –  Éric Räty un chef Finlandais à Hong Kong – Par la Rédaction

Avec deux étoiles tombées dans son escarcelle en deux ans, Eric Räty s’est imposé comme l’un des chefs les plus prometteurs de la scène culinaire hongkongaise. Lepetitjournal.com est allé à sa rencontre. Après avoir grandi dans la forêt finlandaise et commencé sa carrière en tant que plongeur dans un restaurant 2 étoiles d’Helsinki, Eric Räty est aujourd’hui lui-même chef 2 étoiles au cœur de la dynamique Hong Kong. Il me reçoit peu avant midi et l’arrivée des clients dans le cadre enchanteur d’Arbor. Conçu comme une ode à la nature et à « l’élégance sobre » par le designer de renom Glenn Pushelberg, ce restaurant est un sanctuaire paisible niché au cœur de Central, à la cime de la tour H Queen’s. Maîtriser et aller plus vite – En parallèle de ses études à la Perho Culinary School d’Helsinki, Eric Räty, qui a alors 16 ans, décroche un travail à temps partiel en tant que plongeur dans le seul restaurant doublement étoilé de Finlande, Chez Dominique. C’est là que tout commence: il y fait ses armes, et fait déjà montre d’une détermination hors-pair, aiguisa …/… Pour lire la suite de l’article cliquez ICI

 

FINEDINING LOVERS – Pérou – il transforme ses pommes de terre en vin – Par Sorrel Moseley-Williams

Né dans une famille de producteurs de pommes de terre de la région de Cusco au Pérou, le terrain de jeu de Manuel Choqque Bravo était la terre andine fertile où sa famille cultivait des tubercules à 3 740 mètres d’altitude. Il était absent pendant des jours sur le terrain, terrorisant ses jeunes frères et sœurs avec des pommes de terre d’aspect étrange comme le pumaqmaquin (Quechua pour la patte de puma) ou grignotant des feuilles et des fleurs de pomme de terre. Le souper était généralement un arc-en-ciel de variétés andines indigènes cuites au four servies avec une sauce fraîche huacatay (menthe noire) et du sel de Maras. Il ne faisait aucun doute que Manuel serait la quatrième génération de Choqques à travailler les champs de sa famille à Huatata, une petite communauté près de la ville de Cusco; son père, après tout, est un gourou de la pomme de terre qui a longtemps semé des variétés indigènes rares dans le but de récupérer des cultures ancestrales, et est recherché par les meilleurs agronomes pour sa connaissance. Se mettre à la fermentation pour créer de l’alcool à base de pomme de terre – délicieux au passage – signifiait que Manuel était destiné à faire évoluer les choses. …/… Pour lire la suite cliquez ICI

 

LA DÉPÊCHE – Michel Sarran perd 200 000 euros – Par la rédaction

Le restaurateur toulousain Michel Sarran a attaqué son assureur en justice. Jouant sur les clauses, Axa n’a pas indemnisé le restaurateur malgré les pertes d’exploitation dues au Covid-19. À l’instar de nombreux restaurateurs, le célèbre chef toulousains Michel Sarran est en colère contre son assureur. Alors que ses pertes financières sont abyssales et avoisinent les 200 000 euros en raison de la fermeture brutale de son restaurant le 14 mars dernier, AXA ne lui a pas versé 1 centime. Le « juré de top chef  » a donc décidé de l’attaquer en justice. Le procés s’est tenue devant le Tribunal de Commerce de Toulouse ce jeudi. Pour lire la suite cliquez ICI...

 

FRANCE INFO – Christian Sinicropi portait d’un artiste – Par Bernard Thomasson

Plus qu’un cuisinier, Christian Sinicropi est un artiste. Lecteur de philosophie, féru de peinture, céramiste amateur, fou de cinéma, il façonne ses créations culinaires à l’aune des univers artistiques où il puise le sens à donner à sa vie. Et il conçoit chaque année, au Festival de Cannes, un menu d’exception construit autour de la personnalité du président du jury. Assiettes en forme de requin pour Spielberg, en forme d’arbre pour Tim Burton, entre mouvement et spirale pour les frères Cohen, l’imagination de Sinicropi n’a aucune limite. Avec un père calabrais et une mère d’origine italienne, Christian Sinicropi n’était pas destiné à la cuisine. L’école a été maladroite avec lui, comme il le dit joliment, et c’est par hasard qu’il entre en apprentissage. À 16 ans, un stage va changer sa vie, chez un compagnon du tour de France, Yves Thuriès à Cordes-sur-ciel dans le Tarn. Le jeune homme en ressort bouleversé et transformé. Il entrevoit enfin les valeurs qu’il veut défendre. Et il entame à son tour un compagnonnage : Paris, Cannes, Biarritz, Strasbourg, Monte- Carlo. Concevoir des assiettes en fonction des plats – Il revient à Cannes en 2001, au Martinez où le chef Christian Willer l’adoube et lui transmet les clés de la maison, deux étoiles Michelin comprises, en 2008. C’est à cette période que nait l’idée de concevoir, et de fabriquer, des assiettes en fonction des plats, en collaboration avec sa femme Catherine, céramiste. …/… Pour lire la suite cliquez ICI 

 

BIEN PUBLIC – Les voleurs de caves continuent à sévir – Par Thibault Simonet

Le domaine Philippe Chavy, installé dans le village de Puligny-Montrachet, a été victime d’un important cambriolage dans la nuit de vendredi à samedi. Près de deux mille bouteilles ont été dérobées, soit un préjudice de près de 80 000 € selon le domaine. « Il faut être réaliste : notre local de stockage n’était pas très sécurisé, avoue franchement Graziella Chavy. Ils ont fracturé une porte et sont entrés. Deux mille bouteilles, c’est une perte conséquente pour un petit domaine comme le nôtre. C’est le premier vol que l’on subit depuis que nous sommes installés ici (en 1993). On a les jambes un peu coupées, on est perdu, car le fruit de notre travail est parti en un rien de temps. Ces gens profitent du travail des autres pour s’enrichir, c’est révoltant. Heureusement, on a reçu beaucoup de soutien de la part de nos amis. C’est bien de ne pas se sentir seuls dans ce genre de moments. » … Pour lire la suite cliquez ICI

 

LE PROGRÈS – Les vignerons victimes de vols à répétition – Par Emmanuelle BAILLS

Triste surprise pour Yves Cuilleron, ce matin du jeudi 16 juillet. Alors qu’il arrive à son domaine viticole, situé au bord de la nationale 86 traversant le bourg de Chavanay, il s’aperçoit que le portail ouvert a été forcé… Et que sa belle voiture de collection stationnée sur le parvis, a été subtilisée. Il s’agit d’une Peugeot 404 de couleur rouge foncée, datant de 1969. Le véhicule parait comme neuf et arbore une bâche de couleur claire où sont inscrits le nom et le logo du domaine « Cave Yves Cuilleron. »Quelques témoins oculaires auraient aperçu plusieurs hommes cagoulés opérer vers 22h30, mercredi soir et repartir en direction de Condrieu, avec son véhicule tracté. On peut supposer que les malfaiteurs avaient prévu leur coup, ayant repéré cette voiture de collection visible depuis cette route nationale très passagère. Pour lire la suite cliquez ICI

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