Yves Thuriès et Alain Ducasse à Yssingeaux pour fêter la fin d’étude de la 1ère  promotion de Bachelor en Arts culinaires et Pâtisserie Française

 Les chefs Alain Ducasse et Yves Thuriès étaient côte à côte hier à Yssingeaux pour célébrer la fin d’études de la première cession  » promotion de Bachelor en Arts culinaires et Pâtisserie Française « .

 »  Je suis là parce qu’un jour Madeleine Dubois, directrice de cabinet de Jacques Barrot quand il était ministre du commerce m’a demandé de reprendre cette école. J’ai proposé à Yves Thuries de s’associer avec moi. Trois heures après, la question était réglée.  » a indiqué le chef Alain Ducasse hier à l’école nationale supérieure de la pâtisserie d’Yssingeaux (ENSP)

A aucun moment, le chef multi étoilé Alain Ducasse, n’a regretté son investissement « A partir du moment où l’on propose un bon enseignement, les jeunes iraient partout. Ici, nous avons développé une notoriété internationale. » a prolongé le chef Ducasse au moment où les diplômes de fin de parcours ont été remis aux étudiants.

 

Un millier d’élèves et de stagiaires professionnels passent chaque année par les ateliers sucrés du château de Montbarnier, une fréquentation qui devrait encore augmenter avec une stratégie qui s’accélère à l’international, et via comment le monde de la pâtisserie est devenu populaire auprès des jeunes.

L’école nationale supérieure de la pâtisserie d’Yssingeaux (ENSP) est connue dans le monde entier et va accélérer le développement à l’international en relation étroite avec le groupe Ducasse Éducation. Un partenariat a été noué avec une grande  école suisse d’enseignement de la restauration.

« On va accélérer et développer cet apprentissage de la gastronomie française dans ses deux points importants que sont la pâtisserie et la cuisine. A coté il y a tous les savoirs périphériques que sont la sommellerie, le bar, l’enseignement du café… Ces jeunes formés ici, quand ils vont rentrer dans leur pays, ils auront envie, à leur tour de développer l’esprit culinaire français, de boire des vins français, manger de la pâtisserie, acheter de la porcelaine… On est un fort pouvoir économique à l’international. « 

Avec 250 élèves en CAP pâtisserie, neuf classes de Bachelor à partir de l’an prochain et des centaines de stagiaires professionnels, l’ENSP compte un millier d’étudiants. Un chiffre qui ne demande qu’à augmenter.

 

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