La transmission s’effectue, la relève est assurée a indiqué Claire Dorland-Clauzel, membre du Comité Exécutif du Groupe Michelin. » Michelin prend dorénavant en compte l’enjeu du développement durable, aller chercher les produits de saison et de la région, les clients sont demandeurs, les chefs sont sensibles à l’animation du tissu local… » indique t-elle.
La grande cuisine a tendance à se simplifier, mais a aussi trouvé son chemin. La cuisine est un métier d’engagement, de passion, de beaucoup de travail, et c’est ce travail qu’honore encore cette année le guide Michelin, a expliqué le Directeur Monde du guide.
Les critères d’attribution expliqués par Michael Ellis : » le choix et la qualité des produits, la maîtrise des cuissons, la personnalité du chef, l’harmonie des saveurs, les assaisonnements, il faut que le chef s’exprime dans l’assiette… et très important la régularité ! «
» Il faut coller aux saisons, et faire attention au rapport qualité/prix. 2017 est un très bon cru, 70 nouvelles étoiles, la gastronomie n’a jamais été aussi brillante en France … «
Les deux étoiles
Hostellerie de Plaisance – Ronan Kervarrec à Saint-Émilion
La grande Maison de Bernard Magrez – Jean-Denis Le Bras à Bordeaux ( Pierre Pagnaire )
Le Pressoir d’Argent – Gordon Ramsay & Gilad Peled – Bordeaux
Le Gindreau – Pascal Barbet Saint-Médard
La Grenouillère – Alexandre Gaultier – La Madelaine-sous-Montreuil
Le Pré à Clermont Ferrand du chef Xavier Beaudiment
Le Kintessence à Courchevel – Jean-Rémi Caillon
Le Montgomerie à Courchevel
La Maison des Bois – Marc Veyrat à Manigod
Kei – Kei Kobayashi à Paris
La Table de L’Espadon – Nicolas Sale – Le Ritz
Le Clarence – Christophe Pelé Paris
Le seul trois étoiles de l’Année :
1947 – Yannick Alléno – Le Cheval Blanc – Courchevel –