Revue de Presse de la semaine – procès Michelin/Veyrat décision mardi, Cédric Béchade se souvient, Le réveillon d’Alexandre Mazzia, Un membre des Disciples Escoffier passe à table, …

 Nouvelle rubrique hebdomadaire sur F&S : « La Revue de presse de la semaine ». Chaque semaine, nos équipes reprennent pour vous l’actualité des chefs ou de l’univers de la restauration, en compilant les parutions presse les plus marquantes. Une façon de plus de mettre en avant le travail des chefs, leur talent, leur créativité, dans un monde qui bouge en permanence. Et une preuve de plus (s’il en fallait) que la cuisine est aussi dans le mouvement ! 

 

MARC VEYRAT – Perte de la troisième étoile Michelin décision judiciaire mardi pour le chef Marc Veyrat – Par l’Express via l’AFP

Marc Veyrat avait demandé à obtenir les preuves des inspections du guide et « la trace des débats » ayant conduit au déclassement de son établissement. « Ils ont fait une erreur », selon le chef étoilé : le tribunal de Nanterre doit dire mardi s’il oblige le Guide Michelin à donner à Marc Veyrat les critères de la rétrogradation de son restaurant savoyard de trois à deux étoiles. « J’ai beaucoup de respect pour le Michelin en France », mais « ils ont fait une erreur sur moi, qu’ils le reconnaissent ! », clame le célèbre cuisinier au chapeau noir à quelques jours de la décision. Par la voix de son avocat Emmanuel Ravanas, Marc Veyrat avait notamment demandé, lors de l’audience fin novembre, à obtenir les preuves des inspections du guide et « la trace des débats » ayant conduit au déclassement de son établissement savoyard, La Maison des Bois. Le restaurant, qui avait obtenu sa troisième étoile en 2018, avait en effet été déclassé un an plus tard.  Pour lire la suite de l’article cliquez ICI.

 

LE POPULAIRE DU CENTRE – Cédric Béchade témoigne – 

Dix chefs, sommeliers et pâtissiers ont accepté de se confier sur leurs parcours, leurs visions de la cuisine et leurs souvenirs de Noël.  Cédric Béchade, chef de l’Auberge Basque, nous parle éducation alimentaire et comment la cuisine prend tout son sens, en évoquant une certaine idée du luxe. « Ici, le chef c’est la Terre ». Tout est résumé dans ces quelques mots. Le chef Cédric Béchade, mondialement connu depuis qu’il a servi les chefs d’Etat lors du dernier G7, lui qui ne mêlait pas cuisine et politique pour la première fois, défend le bon sens et l’essentiel dans ses cuisines et rêve de cela pour le monde. Etoilé au Michelin, il se considère comme un « aubergiste ». Il raconte les saveurs simples et la lucidité de respecter la nature et défend une certaine idée du festif et du luxe. Pour lire la suite de l’article cliquez ICI

 

LA DÉPÊCHE – Les Chefs Gersois régalent pour la Saint-Sylvestre – par Élody Gouty

Photo Nédir Debbiche 

William Candelon, l’un des deux chefs du restaurant étoilé Le Puit Saint-Jacques nous ouvre sa cuisine et partage l’une de ses recettes phare avec les lecteurs de La Dépêche du midi. Pour lire la suite cliquez ICI.

 

LAURENT DELPORTE – Alain Ducasse au Plaza Athénée : L’Art de la table – par Laurent Delporte

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50BEST STORIES – Mauro Colagreco, 6 mois pour conquérir le monde – par Mark Sansom

As 2019 draws to a close, 50 Best catches up with Mauro Colagreco to see how things are changing for the team behind Mirazur, which took the No.1 spot in The World’s 50 Best Restaurants 2019. He reveals that doubling down on the organic philosophy that has taken Mirazur to the top will be at the core of his plans for 2020 and beyond. Mauro Colagreco is in typically good spirits, half a year on from the moment he took to the stage in Singapore when Mirazur was announced as The World’s Best Restaurant, sponsored by S.Pellegrino and Acqua Panna. The broad smile he was wearing then has remained locked in place as he has seen his base in Menton in the south of France become the focus of intense attention from the gastronomic world. Pour lire la suite cliquez ICI

 

LE FIGARO Arts de Vivre – Le réveillon voyageur d’Alexandre Mazzia – par 

Quand il jouait au basket-ball à haut niveau, Alexandre Mazzia n’était pas toujours, de son propre aveu, le meilleur de l’équipe. Mais l’arrière-shooteur était «toujours le capitaine». Aujourd’hui à la barre de son restaurant à Marseille (deux étoiles Michelin, 19/20 Gault & Millau), il envoie instinctivement – il ne sait pas faire autrement – des compositions d’assiettes extraordinairement complexes dans leur architecture, mais qui provoquent des illuminations de bonheur pur… pour lire la suite cliquez ICI

 

LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE – Un disciple Escoffier se met à table ! – Par Évelyne BELLANGER

Christian Heuline, secrétaire à l’international de la plus grande association gastronomique au monde, était à Tours pour lancer la délégation régionale.Le premier chapitre de la délégation régionale des Disciples Escoffier, confrérie qui compte plus de 10.000 personnes dans le monde, vient d’avoir lieu à Tours, à l’institution Notre-Dame La Riche.« Cette délégation – il en existe quatorze dans l’Hexagone, plus celles des DOM-TOM – existait déjà, mais elle était en sommeil. Les Disciples Escoffier avaient à cœur de la relancer, car cette région est gastronomiquement riche, tant pour ses produits que ses chefs. Le président régional est d’ailleurs Rémy Giraud, double étoilé Michelin, chef du Domaine des Hauts de Loire, en Loir-et-Cher. Quant à Notre-Dame-La Riche, avec son école hôtelière d’excellence, qui prépare les filières cuisine, service et hébergement, et qui possède un restaurant d’application et des aménagements récents, elle était le lieu idéal pour cet événement. Le concours national Jeunes Talents Escoffier a également été organisé. Qui a vu la sélection de deux jeunes de Notre-Dame-La Riche, qui partiront l’an prochain pour la finale internationale à Shanghai. »… Pour lire la suite cliquez ICI

 

MIDI LIBRE – Les recettes de Noël du chef Michel Kayser – par Midi Libre

Pour ces fêtes de fin d’année, « Midi Libre » met le cap sur Garons, au restaurant étoilé Alexandre-Michel Kayser, dans le Gard, tout près de Nîmes et de la Camargue. Son chef, Michel Kayser, nous parle avec passion et engouement, de cuisine.

Michel Kayser, comment êtes-vous tombé dans la marmite? J’ai grandi en Alsace. On n’avait pas beaucoup de moyens mais on mangeait toujours bien chez nous, c’était cuisiné. On passait des bons moments en famille. Mon père était charcutier. Je ne devais pas faire cuisinier. J’ai commencé à 14 ans. On ne sait pas trop ce que l’on veut faire à cet âge-là. J’avais du plaisir à table parce que j’entendais mes grands-parents parlaient avec mes tantes de cuisine dans la cuisine. J’entendais ensuite les discussions à table. Ce sont toujours des moments de bonheur. … pour lire la suite de l’article cliquez ICI

 

L’ÉCHOS RÉPUBLICAIN – Le Chef Pâtissier du grand Monarque … par Laurence Franceschina

Jérôme Bellegueille, chef pâtissier du Grand Monarque, concourt pour la troisième fois au championnat de France du dessert. Et espère bien décrocher le titre en 2020. Il enchante les papilles des clients du restaurant étoilé Le Georges et de la brasserie La Cour depuis septembre 2018 mais c’est un autre défi que s’apprête à relever le chef pâtissier du Grand Monarque, à Chartres. Jérôme Bellegueille va participer à la finale régionale Centre-Ouest du championnat de France du dessert, le 21 janvier, à Angoulême (Charente). Il y vise la première place, ce qui lui permettra de disputer la finale nationale, début avril, au lycée hôtelier de Rouen (Seine-Maritime). Car le pâtissier de 36 ans a une revanche à prendre : « J’ai déjà participé deux fois à ce championnat de France, en 2009 et 2016. La première fois, j’ai obtenu la quatrième place?; la seconde fois, je suis arrivé sur la troisième marche du podium mais premier en dégustation et présentation du dessert. »..; Pour lire la suite de l’article cliquez ICI

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