Lexus – les chefs Christian Constant et Taku Sekine interprètent L’Omotenashi ( l’hospitalité à la Japonaise )

 Vous ne pourrez pas échapper à la campagne de communication de la marque LEXUS qui met en scène les chefs parisiens Christian Constant et Taku Sekine, elle est apparue sur de nombreux écrans d’ordinateurs ce week-end – «  La France et le Japon partagent les valeurs de Lexus : l’excellence, le goût du détail et une certaine idée de l’art de vivre dans leur individualité mais aussi leur portée universelle. Vision en miroir, réciprocité des attirances, échanges de regards…  » 

L’Omotenashi : Au Japon, l’Omotenashi est l’art suprême de la considération. Ce mot japonais est difficilement traduisible, car si en France on dit que le client est ROI, au japon on dirait que le client est DIEU. Le mot omotenashi est venu sur le devant de la scène internationale depuis quelques années, alors que le Japon proposait sa candidature pour les Jeux Olympiques de 2020 (obtenus depuis). L’hospitalité japonaise a été utilisée comme argument de promotion et suscite désormais la fierté nationale.

Visionnez la vidéo ci-dessous :

L’Omotenashi par Christian Constant & Taku Sekine

Chef étoilé, Christian Constant excelle dans l’art de recevoir à la française. Chez Taku Sekine, jeune chef japonais, l’Omotenashi, l’hospitalité à la japonaise, est reine. Interview croisée.

Au Japon, l’art de recevoir porte un nom : l’Omotenashi, qui invite à anticiper les besoins d’un invité. S’il y a bien un univers dans lequel l’excellence et l’hospitalité sont importantes, c’est celui des grands chefs.

L’Omotenashi invite à anticiper les besoins. Pour vous, est-ce important ?

Christian Constant : «L’anticipation est une part importante de notre métier. C’est accueillir les clients, se souvenir de leurs goûts, devancer leurs demandes.»

Taku Sekine : «C’est l’esprit de l’Omotenashi : anticiper les désirs des clients, les recevoir comme on le ferait chez soi. Il faut anticiper.» L’important est de faire rêver son client. Commencer par un bel accueil est essentiel. Il faut aussi lui faire plaisir. L’art de recevoir est une somme de détails.

Avoir le souci du détail est la seconde valeur de l’Omotenashi…

C.C : «L’important est de faire rêver son client. Commencer par un bel accueil est essentiel. Il faut aussi lui faire plaisir. L’art de recevoir est une somme de détails.»

T.S : «La cuisine, ce n’est que ça… Des détails. Ce sont eux qui rendent les gens heureux. C’est justement ce qui fait l’Omotenashi.» C’est l’esprit de l’Omotenashi : anticiper les désirs des clients, les recevoir comme on le ferait chez soi. Il faut anticiper.

Dernière valeur : exprimer sa gratitude…

C.C : «Un client heureux me remplit de bonheur. Cette gratitude est ce qu’il y a de plus important.»

T.S : «Nous n’en serions pas où nous sommes si nos clients n’étaient pas heureux. Grâce à eux, on peut s’exprimer dans notre cuisine. Pour cela, je les remercie.»

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