Après de nombreux mois sans production ni diffusion le magazine de cuisine YAM ( ex Yannick Alléno Magazine ) reprend du service avec un nouveau propriétaire, lancement avec un numéro « spécial renaissance« , et un tarif spécial lancement à 7,90 euros.
Le magazine avait cessé de paraitre au mois d’avril 2021 ( F&S ), le titre reste, l’ADN aussi, mais une nouvelle ère s’ouvre.
YAM a indiqué : « Voilà maintenant plusieurs mois que Yam n’a pas communiqué publiquement. En effet, la société Laymon, éditrice historique, a connu des difficultés ces derniers mois, ce qui a conduit à l’interruption de la parution du titre. »
Après onze mois d’interruption et un changement de propriétaire, le magazine a dévoilé sa nouvelle formule chez tous les marchands de presse le 25 novembre 2021.
Porté par son nouvel éditeur Au Coeur des Villes, le nouveau yam a été entièrement repensé pour être plus moderne, accessible et représentatif de toutes les belles cuisines.
Notre ambition : vous raconter le « bien manger »… un enjeu qui nous concerne toutes et tous, plus que jamais interconnecté avec les défis de notre société. Et forcément, les acteurs de la gastronomie y ont beaucoup de choses à nous raconter, tant en matière d’émotion, d’inspiration que de transmission.
Entreprise de presse indépendante à l’actionnariat familial, Au Coeur des Villes édite une dizaine de médias print et numériques, dont 5 dans l’univers de la restauration et de la gastronomie.
Un magazine édité et imprimé en France qui indique : « Le numéro 60 a été bouclé par la rédaction il y a quelques jours et il est déjà en cours d’impression ! Sa conception se fait avec du papier 100% suédois et avec un savoir-faire français, chez notre partenaire : Leonce Deprez ! 🚛 Le traitement de l’impression s’effectue en France, près d’Arras, dans une entreprise familiale française qui existe depuis 1922. Chaque numéro pèsera exactement 500 grammes. Au total ce sont 15 tonnes de papiers qui seront utilisées pour la production du Yam #60 ! ✨ »
Il est de retour le nouveau magazine YAM signe sa renaissance avec le numéro 60, en kiosque depuis le 25 novembre.
Au menu de ce magazine Yam #60 :
- Deux chefs invités : Glenn Viel 👨🏻🍳, star de Top Chef et résident de l’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence, et la cheffe Beatriz Gonzalez 👩🏻🍳, à la tête de deux adresses parisiennes Neva_Cuisine et Coretta.
- Coup de projecteur sur la brasserie parisienne Mimosa de Jean-François Piège, à l’inspiration #frenchriviera 🏖
- Les coulisses des Bocuse d’Or avec Davy Tissot et Serge Vieira 🏆
- À boire et à manger : les Crémants et les coquilles Saint-Jacques 🐚
- Savoir-faire : portrait de Cécile Cayrol, potière talentueuse pour l’Oustau de Baumanière🏺
Le chef Glenn Viel & YAM ont lancés un défi aux lecteurs et aux internautes :
Sublimer la recette « Tartines de sardines de Méditerranée » du chef 3 étoiles, les trois meilleurs photos seront publiées et créditées dans le numéro 61 du YAM !
Pour participer :
1) Reproduisez la recette de Glenn Viel en soignant le dressage, le lien est en bio !
2) Postez votre photo en post, en story et avant le mardi 7 décembre en taguant @glennviel@baumaniere ou @yam.magazine
3) Les résultats seront publiés le vendredi 10 décembre !
À la rédaction : Leslie Gogois qui est l’une des journalistes phares du magazine YAM, elle est journaliste culinaire, spécialisée dans l’édition des recettes et également créatrice de contenus pour des marques de Food.
Auteur de plus de 60 livres de cuisine pour différents éditeurs et notamment des ouvrages pour Yannick Alleno, Cedric Grolet, Christophe Michalak, Julien Dugourd, Leslie Gogois a été rédactrice en chef de YAM pendant 10 ans. Sa passion, à côté de son métier de journaliste, est de tester de nouvelles tables à Paris et ailleurs !. « Je suis folle de gastronomie depuis toujours. Grâce à ma maman qui était une excellente cuisinière, j’ai découvert l’amour des beaux produits, le plaisir de faire le marché, l’audace de ne pas suivre une recette dans un livre pour y apporter sa propre touche. J’ai une foule de souvenirs d’odeurs de cuisine qui embaumaient toute la maison.«
Photos – Philippe Vaurès Santamaria