Salle de l’Assemblée générale au Sommet des Nations Unies pour l’action sur le climat 2019, les plus hautes personnalités étaient conviées à participer et à s’impliquer …
Le chef italien Massimo Bottura était sur place avec son épouse Lara Gilmore, tout deux très impliqués avec leur association FOOD FOR SOUL. » Nous devons écouter nos jeunes et responsabiliser les générations futures, en travaillant ensemble pour un avenir plus durable #ClimateAction est une action a mener tous ensemble, pour un mieux vivre. « a indiqué le chef qui participait à de nombreux colloques et réunions.
Ci-dessus conversation avec Massimo Bottura, Kristen Saloomey et Louise Mabulo. Que peuvent faire les chefs sur le changement climatique ? Massimo a expliqué : « Achetez moins de nourriture, achetez des produits frais et vous mangerez mieux, aidez à réduire le gaspillage alimentaire, en plus vous économiserez de l’argent ! »
Le chef italien Massimo Bottura a lancé un appel à l’action en insistant sur la responsabilité sociale des chefs qui peuvent sensibiliser aux choix de consommation durables et informés, soutenir des régimes alimentaires sains et lutter contre le gaspillage alimentaire. « Cuisiner est un appel à agir » a -t-il dit.
La culture, la nourriture et l’éducation sont de puissants vecteurs de changement transformateur et de développement durable. Bien que la culture, la préparation et le service des aliments représentent une expérience humaine universelle, il existe une grande variété de pratiques alimentaires à travers le monde, constituant une part importante de notre patrimoine commun ont expliqués les experts.
Quant à la France, elle était très impliquée hier dans le processus de préservation de notre planète, le Président Macron était sur tous les fronts. » On a besoin de la jeunesse pour nous dire d’aller plus vite, pour nous aider à changer les choses, et nous aider à mettre la pression sur ceux qui ne veulent pas bouger ». Dans un discours prononcé lundi 23 septembre à l’ouverture du sommet pour le climat de l’ONU, Emmanuel Macron a tenté de répondre à « l’exigence » des jeunes qui défilent pour réclamer une politique plus ambitieuse pour le climat. Un discours mesuré et consensuel, le président de la République a ensuite poursuvi en évoquant le commerce international. « On ne peut plus avoir un agenda commercial qui soit contraire à notre agenda climatique, a-t-il estimé. Il nous faut, dans nos échanges, être cohérent. Je ne suis plus favorable à renforcer les échanges avec des pays en contradiction avec l’accord de Paris ».
« Nous devons bâtir un agenda commercial, au niveau européen, qui vise le zéro carbone et le zéro déforestation importés. C’est indispensable », a-t-il également affirmé.
Pour terminer son allocution, Emmanuel Macron a évoqué le « fonds vert », « priorité immédiate ». « La France mettra 1,5 milliard d’euros dans ce fonds (…) Nous sommes au moment où je vous parle à sept milliards de dollars (6,37 milliards d’euros). La cible est d’atteindre dix milliards de dollars », a-t-il calculé. « J’appelle chacun d’entre vous à réhausser sa contribution au fonds vert. Des actes, des actes, des actes. On ne peut pas laisser notre jeunesse passer tous ses vendredis à manifester. »