Architecte et designer – Magicien artistique fabuleux, metteur en scène hors du commun, il est le scénographe des moments inoubliables, magiques, rares et réservés à une minuscule capsule d’happy fews qui le temps d’un dîner de gala applaudissent les acteurs de découvertes gastronomiques rares, de scènes époustouflantes, d ‘expériences artistiques peu communes, de créations à aucune autre pareille.  Tous connaissent l’artiste belge, explorateur de nouveaux matériaux, du recyclage et de la forme, de la mobilité des objets, extravagant furieusement, talentueux intensément. Depuis 2012 Charles Kaisin installe des Diners Surréalistes, évoquant la folie créatrice du grand maitre du surréalisme, où folie créative, haute gastronomie et scénographie pharaonique se côtoient dans un monde au-delà de toute réalité. les éditions se succèdent de plus en plus folles, de plus en plus remarquables, les convives se retrouvent dans des adresses aussi incongrues qu’une rame de métro ou l’Hôtel de Ville de Bruxelles. Lors de rencontres, de diners de gala que Dali auraient adorés. Le maitre du surréalisme aurait été fou de  de ces moments follement daliniens, qui refusent le banal, la médiocrité, le déjà vu, l’ordinaire, ces moments qui allient avec génie le beau et le bon, des conquêtes du palais avec délice suprême, des conquêtes de l’esthétisme avec impertinence.

Il a déjà choqué et ébloui avec ses précédentes extravagances dans d’autres dîners, dont le thème et le lieu changent chaque année. Il a orchestré un diner dans la Banqueting House de Londres pour une famille de joailliers qu’il a entrainée dans un voyage onirique sur le thème de la Route de la soie, sous la lumière d’une fresque signée Rubens qui s’étale sur le plafond du palais. A Bruxelles, il a montré son audace et ses idées loufoques. Il a affiché méduses lumineuses ou chaises frottées au basilic dans ses installations éphémères montées pour Rolls Royce, le Casino de Monte Carlo ou autres palais où toutes les folies créatives sont permises et même imposées. Plus d‘une soixantaine de Dîners Surréalistes ont été réalisés à travers le monde entier pour des maisons de renoms. « Je me sens beaucoup plus l’âme d’un metteur en scène d’opéra que d’un organisateur de fêtes. J’écoute attentivement ce qu’attendent mes clients, des particuliers et des entreprises, mais je veux avoir carte blanche. Vous ne demanderiez pas à un artiste s’il n’a pas un tableau dans une autre couleur! » a t-il confié.

Le 19 mars prochain, un incroyable projet orchestré depuis des mois par les équipes du Meurice et celles du designer Charles Kaisin prendra vie dans le salon d‘apparat de l‘hôtel Le Meurice pour offrir à soixante-douze « happy-few » une expérience hors du commun.