Par notre correspondante sur place
Bilbao, Jour 1. Ça se sent comme une certitude, qui s’approche et qui règne, croissante et inévitable : sur la ville toute entière, plane comme un parfum d’attente, une effervescence qui s’active, et qu’on ne peut ignorer. Cette adrénaline porte un nom : le 50 Best.
ANDRÉ CHIANG – Bilbao en live
À peine arrivée dans la ville que déjà, Bilbao résonne selon le rythme évident de cette cérémonie à venir. Dès l’aéroport, les affiches relatives au 50 Best se succèdent, discrètes mais efficaces. Même chose ensuite aux abords du musée Guggenheim, tandis que ce fascinant entrelacs de bandes métallisées voit tout autour de lui des affiches de même format. Ailleurs encore dans la ville, le centre se jalonne d’affiches annonciatrices, depuis les boutiques de design en passant par les restaurants. Pas de doute, on ne s’est pas trompé de ville.
JOAN ROCA – les amis
ALAIN PASSARD – au Nerua au Guggenhiem
La matinée a commencé fort, par une interview exclusive d’André Chiang, grand chef devant l’éternel, récompensé début 2018 du prestigieux Diners Club Lifetime Achievement Award. Concentré et précis, il s’est livré à l’exercice de l’interview de bonne grâce. C’est au musée Guggenheim, justement, que je l’ai rencontré, tandis qu’il achevait de visiter l’exposition dévolue à Chagall. Restez connectés pour découvrir bientôt l’interview !
D’autres entretiens suivront toute à l’heure, en marge de la cérémonie du 50 Best. La suite au prochain post !
Par Anastasia Chelini
CHRISTINA TOSI – la chef pâtissière de New York
VLADIMIR MUKHIN – ESPAGNE !