LE POINT – Y a t’il trop d’émissions de cuisine à la télé ? c’est la question qu’a posé le magazine Le Point aux in terrantes … La réponse est sans appel, OUI – Les commentaires y sont allé de bon train, les stars chefs de la télé sont habillés pour l’hiver !
ENTREPRENDRE.FR – Marc Veyrat » les couverts en argent, les étoiles, c’est terminé » – Par Valerie Loctin
Si le public apprécie autant Marc Veyrat, c’est pour son talent incontestable de chef, mais aussi pour sa personnalité, son franc parler et son amour de la montagne et tout ce que nous offre la nature. Rencontre avec un entrepreneur humaniste et passionné qui, à bientôt 70 ans, n’a rien perdu de son envie de créer et de transmettre. Aujourd’hui, force est de constater qu’un grand chef de cuisine pour durer doit plus que jamais être un chef d’entreprise. Cette dimension entrepreneuriale vous plaît-elle aussi ?
Marc Veyrat : Oh oui, c’est incontournable ! Pour qu’une aventure gastronomique dure, il faut se remettre en cause en permanence. Il faut aussi se battre tout le temps, pas pour soi, mais pour son équipe, pour transmettre un savoir-faire et passer le relais aux nouvelles générations qui arrivent. Au total, je fais travailler environ 200 personnes, dont 50 salariés à La Maison des Bois de Manigod. Un parcours de chef, c’est un parcours d’entrepreneur, avec ses hauts et ses bas. Il ne faut jamais rien lâcher et ne pas hésiter à se lancer de nouveaux défis. Pour lire la suite cliquez ICI
VANITY FAIR – Jean-François Mallet raconte ses plus belles photos de food – Par Rédaction
Cuisinier formé à Ferrandi avant de passer dans les cuisines de Michel Rostang, Gaston Lenôtre et Joël Robuchon, Jean-François Mallet a un jour troqué les fourneaux contre un appareil photo, pour devenir un reporter dont les images prises sur le vif racontent la cuisine depuis vingt ans. Il s’infiltre dans les cuisines des plus grands chefs de l’Hexagone mais s’intéresse également à la street-food du bout du monde qu’il photographie depuis plus de dix ans. Il a récemment publié le 41ème tome de sa série Simplissime, la collection de livres de cuisine la plus vendue au monde. Il raconte à Vanity Fair les coulisses de ses shoots culte. Pour lire la suite cliquez ICI
LE MONDE – Bruno Doucet , chef cuisinier : » La vocation, c’est d’avoir pour métier sa passion » – Par Pascal Galinier
« J’avais 20 ans » : « Le Monde » interroge une personnalité sur ses années d’études et son passage à l’âge adulte. Bruno Doucet, 46 ans, raconte le parcours qui l’a mené de sa Touraine natale à la bistronomie parisienne.Bruno Doucet, 46 ans, est l’un des chefs emblématiques du mouvement de la « bistronomie », contraction des mots bistrot et gastronomie. L’idée, qu’il met en pratique dans ses restaurants La Régalade, est de proposer une cuisine de haut niveau à des prix (relativement) accessibles, dans un cadre plus décontracté que celui des grands restaurants. A 20 ans, le Tourangeau rêvait dejà d’étoiles dans les cuisines du Fouquet’s.
Vous dites sur le site de votre restaurant que vous avez « longtemps hésité entre devenir astronome ou cuisinier »… Cuisiner, ce n’était donc pas une vocation ? – Vocation, je n’aime pas ce mot. C’est un truc de bonne sœur. C’est surtout excessif pour parler de cuisine. Il y a des causes plus graves, plus nobles, que celle de simplement régaler les gens. Stendhal, je crois, disait : « La vocation, c’est d’avoir pour métier sa passion. » Alors là, oui, je peux dire que j’ai réalisé une certaine forme de vocation… Pour lire la suite cliquez ICI
NOUVEL OBS – Par Christel Brion
C’était un bon deal. Un salaire, une chambre et des cours de surf. Céline Pham n’a pas hésité une seconde. Cet été, le petit restaurant Providence, installé à Guéthary sur la Côte basque, a décroché la lune en recrutant pour deux mois cette chef que tout le monde s’arrache.
Formée à l’école Ferrandi après avoir fait ses débuts dans une maison de disques, puis être passée par quelques tables reconnues de la scène parisienne comme Saturne et Septime, elle assure des résidences en France et à l’étranger, cuisine pour de petits comités et de grands événements, souvent à guichets fermés. Pas d’adresse fixe, mais un agenda rempli aussi bien par un lancement chez le chausseur John Lobb que par un grand repas organisé par la plateforme de streaming musical Deezer à l’occasion d’un concert de Camille, ou encore une collaboration avec le champagne Ruinart. L’année dernière, juste avant Noël, elle s’est même envolée au Portugal, pour réaliser des dîners d’exception dans une boutiques hôtel pendant une semaine. Pour autant, la très remuante trentenaire franco-vietnamienne n’est pas un ovni dans le paysage gastronomique. Pour lire la suite cliquez ICI
LA DÉPÊCHE – Boîtes de nuit : la fin d’une époque – par la rédaction
Il ne reste que 1 500 boîtes de nuit en France. Les discothèques de campagne sont particulièrement touchées. En cause : la sécurité routière, les charges contraignantes et les habitudes de la nouvelle génération. Les boîtes de nuit de campagne ont la gueule de bois. Partout, les Macumba, les Rétro, les Calypso et les Acapulco ont décroché leurs enseignes à néons. Le 14 décembre dernier, c’est l’emblématique « Kes West », la plus grosse discothèque située au nord de Paris, près de Béthune dans le Pas-de-Calais, qui baissait le rideau. Les 5 600 m² du site et ses huit salles d’ambiance se sont vidés, faute de clientèle. Le 1er janvier 2018, le Pacha, tirait sa révérence à Pessac. Une institution des nuits bordelaises pendant quarante-trois ans. Autre coup de massue : l’annonce de la fermeture de la Clé des chants dans l’Ain en juillet 2019. Celle qui a souvent été présentée comme la plus grande discothèque de France n’a pas survécu non plus. Isolés à la périphérie des grandes villes, souvent jugés « has-been » par la nouvelle génération, les établissements de nuit n’attirent plus. Depuis les années « 80 », près de deux tiers des discothèques ont disparu. Elles étaient 4 000, elles ne sont désormais plus que 1 500 selon une étude de la Sacem réalisée en 2014. Entre 2008 et 2010, pas moins de 800 discothèques ont mis la clé sous la porte. … Pour lire la suite cliquez ICI
METOO – Alors que la vague #MeToo gagne petit à petit chaque milieu professionnel depuis deux ans, le secteur de l’hôtellerie-restauration peinait à suivre le mouvement. Loin de Twitter, qui avait recueilli la plupart des témoignages, c’est finalement un compte Instagram qui met en slogan jaune et noir les pires atrocités vécues dans les cuisines françaises.
« Il a pris ma queue de cheval, m’a tiré vers lui en arrière et a dit d’une voix forte : c’est comme ça qu’on les prend les femmes ! ». « Il », c’est un chef pâtissier, 2 étoiles Michelin. Ce témoignage est celui d’une jeune femme qui comme des dizaines et des dizaines d’autres à travailler dans le milieu de la restauration, subit régulièrement, voire quotidiennement, du harcèlement moral ou sexuel. L’année dernière, LCI avait déjà récolté de nombreux récits semblables, et la conclusion avait été éloquente : « le machisme semble y couler des jours tranquilles et aucune prise de conscience n’a l’air de poindre à l’horizon ». Autrement dit, l’omerta était encore totale. Aujourd’hui, les femmes prennent la parole sur les réseaux sociaux, permettant d’espérer la fin de l’impunité derrière les fourneaux. Pour lire la suite cliquez ICI
LA VOIX DU NORD – Daniel Laforce ( ex Top Chef ) en retard pour son ouverture – Par Matthieu Delcroix
Damien Laforce, 24 ans, passé chez Florent Ladeyn et par Le Sébastopol, remarqué dans Top Chef, a ouvert une table d’hôtes éphémère aux Toquées (*), le restaurant de l’ex-chef étoilé Benoît Bernard, en bord de Deûle. À la Table de Marcel, il propose une cuisine de saison, avant l’ouverture de son restaurant rue de la Monnaie, sûrement cet été.
– Comment est née cette idée de table d’hôtes éphémère au rez-de-chaussée des Toquées ? – « Je m’entends bien avec Benoît (Bernard). Un jour, il m’a proposé d’occuper le bas de son restaurant pour quelques mois. « Éclate-toi ! » m’a-t-il dit. Benoît, c’est quelqu’un qui m’apporte beaucoup, Pour lire la suite cliquez ICI
OUEST FRANCE – Le plus jeune chef du monde ! – Par la rédaction
Omari McQueen est sans doute l’enfant de 11 ans le plus occupé du monde. Il est chef cuisinier ! Il prépare des plats à base de plantes. Il a débuté avec une chaîne YouTube. Et il dirige sa propre entreprise. Il aide aussi les sans-abri et se bat contre le harcèlement. Ce mois-ci, Omari a travaillé dur dans sa cuisine de Londres (Royaume-Uni). « Je nourris les personnes dans la rue », nous a-t-il expliqué. Ses repas sont entièrement vegan (sans viande ni laitage). Avec l’aide de sa mère, il les distribue dans des refuges pour sans-abri. « Cela me rend très heureux et fier de moi », raconte Omari. Omari a de quoi être fier. À 7 ans, il a appris à cuisiner. « Je suis le chef vegan le plus jeune du pays, a-t-il déclaré. Et le plus jeune restaurateur du monde ! »
Omari n’a jamais voulu utiliser de produits venant d’animaux. Dans sa chaîne YouTube, Omari Goes Wild, il parle d’un fruit appelé jacquier. Beaucoup de vegans s’en nourrissent, pour remplacer la viande. Omari adore ça ! L’entreprise d’Omari vend des produits vegans : goûters, sauces, etc. Cet été, le jeune chef a même dirigé un restaurant ! C’était un restaurant temporaire, à Londres. Il a fermé au moment de la rentrée des classes. Pour lire la suite cliquez ICI