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Pas moins de 84 candidats étaient en lice dans l’émission du chef Philippe Etchebest. Parmi eux, Fabio Jolbert.
Ce jeune Holtzheimois de 18 ans travaille actuellement chez Hubert Maetz à Rosheim. Il a de la ressource : après un CAP cuisinier avec félicitations du jury, il est en deuxième année de bac professionnel au CEFPPA Adrien-Zeller, à Illkirch-Graffenstaden.
Il enchaîne l’école, son travail en alternance et les concours. Meilleur apprenti Grand Est, il a aussi décroché une 4e place nationale. En passant un concours dans la prestigieuse maison Ferrandi, à Paris, il est « casté » par Studio 89 qui produit l’émission Top Chef.
À la question « Quels sont vos mentors ? », il répond Philippe Etchebest. « Il est impressionnant, très juste dans ses critiques qui sont toujours constructives. Il adore l’Alsace et nos tartes flambées ! »
Marc Veyrat aussi, venu en guest sur le programme : « Il est juste, c’est une personnalité très apaisante, son contact fait du bien. »
Il ajoute : « J’affectionne particulièrement Émile Jung qui vient manger au Rosenmeer. Il vient souvent me transmettre un petit secret culinaire sur les sauces. Et aussi le regretté Paul Bocuse et tant d’autres encore. »
Depuis 15 mois, Fabio Jolbert absorbe le savoir-faire d’Hubert Maetz, sur les herbes notamment.
Surprenant de maturité et de précocité, Fabio Jolbert est tombé dans la marmite tout petit. Ses parents Sylvia et Nicolas, épicuriens, le soutiennent, ainsi que son frère Tom qui se destine, lui, à une école d’ingénieur.
Pas moins de 84 candidats étaient en lice dans l’émission du chef Philippe Etchebest. Parmi eux, Fabio Jolbert.
Ce jeune Holtzheimois de 18 ans travaille actuellement chez Hubert Maetz à Rosheim. Il a de la ressource : après un CAP cuisinier avec félicitations du jury, il est en deuxième année de bac professionnel au CEFPPA Adrien-Zeller, à Illkirch-Graffenstaden.
Il enchaîne l’école, son travail en alternance et les concours. Meilleur apprenti Grand Est, il a aussi décroché une 4e place nationale.
En passant un concours dans la prestigieuse maison Ferrandi, à Paris, il est « casté » par Studio 89 qui produit l’émission Top Chef.
À la question « Quels sont vos mentors ? », il répond Philippe Etchebest. « Il est impressionnant, très juste dans ses critiques qui sont toujours constructives. Il adore l’Alsace et nos tartes flambées ! »
Marc Veyrat aussi, venu en guest sur le programme : « Il est juste, c’est une personnalité très apaisante, son contact fait du bien. »
Il ajoute : « J’affectionne particulièrement Émile Jung qui vient manger au Rosenmeer. Il vient souvent me transmettre un petit secret culinaire sur les sauces. Et aussi le regretté Paul Bocuse et tant d’autres encore. »
Depuis 15 mois, Fabio Jolbert absorbe le savoir-faire d’Hubert Maetz, sur les herbes notamment.
Surprenant de maturité et de précocité, Fabio Jolbert est tombé dans la marmite tout petit. Ses parents Sylvia et Nicolas, épicuriens, le soutiennent, ainsi que son frère Tom qui se destine, lui, à une école d’ingénieur.
« Je veux devenir Meilleur Ouvrier de France »
L’émission lui a permis de mûrir : « Je veux devenir Meilleur Ouvrier de France, c’est pour moi la récompense suprême. » Sa maman se rappelle que lors de l’achat de sa première tenue de cuisinier, il lui a annoncé qu’il porterait un jour le col bleu, blanc, rouge.
Ses impressions par rapport à l’émission tournée à Bordeaux en juillet sont excellentes : « Nous avons été coachés par Camille Delcroix (gagnant de l’édition précédente), les chefs étaient vraiment là pour nous, ils nous ont conseillés, ils étaient investis. »
Il n’en dit pas plus quant à l’issue du jeu, et répond simplement, dans un sourire, que c’était magique. Souhaitons-lui une pluie d’étoiles.
L’émission lui a permis de mûrir : « Je veux devenir Meilleur Ouvrier de France, c’est pour moi la récompense suprême. » Sa maman se rappelle que lors de l’achat de sa première tenue de cuisinier, il lui a annoncé qu’il porterait un jour le col bleu, blanc, rouge.
Ses impressions par rapport à l’émission tournée à Bordeaux en juillet sont excellentes : « Nous avons été coachés par Camille Delcroix (gagnant de l’édition précédente), les chefs étaient vraiment là pour nous, ils nous ont conseillés, ils étaient investis. »
Il n’en dit pas plus quant à l’issue du jeu, et répond simplement, dans un sourire, que c’était magique. Souhaitons-lui une pluie d’étoiles.