Benjamin Brial et le chef pâtissier Nicolas Guercio
Côté salle, tout participe à l’éclosion d’un beau moment ; frais et aéré, le Saint-Germain ménage à chaque table un espace généreux, que baigne la lumière de la verrière (signée Fabrice Hyber). Sous l’inflexion solaire, les reflets de cette dernière viennent se perdre dans les reliefs des plats. Le service, précis et attentif, prolonge le contentement. En dessert, la forme continue sa quête : la poire à la mousse vanille témoigne de cette intention, reprenant les contours d’un champignon, auréolé d’une garniture façon sous-bois.
Un champagne Taittinger a été spécialement conçu pour le Lutetia
La carte, tout en qualité, change deux fois par saison ; et fait la part belle aux produits du moment. En mars, une nouvelle disposition est prévue, qui remodèlera l’offre. À suivre… En attendant, on fond pour le fondant chocolat, et pourquoi pas, on gagne ensuite le Bar Joséphine, pour prolonger l’instant tout en profitant de la vue.