À lire sur Huffingtonpost
Fabrizio Bucella est né à Milan et résidant à Bruxelles (Belgique). Diplômé en physique, docteur en sciences et professeur ordinaire à l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Sommelier, spécialiste du vin et de la bière, Directeur l’école de dégustation de vin Inter Wine & Dine, il y enseigne l’oenologie et la technique de la dégustation. Il participe comme Juré-Expert à de nombreux concours internationaux. Il est blogger pour le Huffington Post, écrit dans la Revue du Vin de France et dans la Revue des oenologues. Il écrit également des articles scientifiques et généralistes sur le vin et la bière dans des revues spécialisées et grand public.
Lors d’une expérience d’analyse sensorielle réalisée avec l’école d’oenologie Inter Wine & Dine, deux vins ont été testés dans différents contenants (vin rouge, château Lagrange 2006 à Saint-Julien et vin blanc, 100 % sauvignon, IGP Loire 2015, domaine de la Bougrie).
Comme le montre la vidéo, au niveau du goût il n’y a aucune influence. Si l’on fait abstraction du contenant, les vins ont la même saveur, qu’ils soient servis dans des verres en cristal, des verres bon marché, des tasses de terre cuite ou même un gobelet en plastique.
Au niveau du nez c’est une autre affaire.
Les verres technologiques (Chef & Sommelier Open Up Pro Tasting à 7 euros ou Impitoyable Taster de Peugeot à 35 euros) permettent de cerner précisément certains arômes. Les verres les moins onéreux (verre Ikea ou verre de type INAO à quelques euros) se situent juste en-dessous question performance olfactive. Ils donnent un aperçu très général et complet du bouquet du vin, avec une meilleure performance du verre INAO.
Retrouvez la conclusion en cliquant ICI