« La mort, finalement, ça arrive à tout le monde. La vie, c’est la mort. Je pense que j’ai bien fait mon boulot, donc je peux mourir tranquille. » – Le Figaro / 2010
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« L’intelligence va des mains au cerveau. Pas l’inverse. »
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« Recevoir quelqu’un, c’est se charger de son bonheur »
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« Je n’ai jamais fait de nouvelle cuisine, à part une salade de haricots verts qui a laissé tout le monde sur le derrière. La nouvelle cuisine, c‘était rien dans l’assiette, tout dans l’addition ! » – Le Figaro – François Simon / 2007
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« Ce n’est pas le détail d’un style particulier qui compte, mais la sensibilité qui se situe en amont ! »
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« Le devoir d’un cuisinier est de transmettre à la génération qui le remplacera le fond de son savoir-faire, mais aussi les enrichissements, les mots nouveaux, les concepts découlants d’expériences maintes fois entreprises ! »
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« L’argent n’est pas mon souci. On ne mange pas l’argent. » – Le Figaro / 2007
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« Je ne travaille pas à la proportion, au grammage mais à l’instint, à l’envie ! » – Le Figaro / 2010
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« Quand je commande un poulet, je n’ai pas besoin que le maître d’hôtel me parle du grand-père du poulet. Pareil, pour les sommeliers. La seule question qui vaille est : C’est bon ? où vous avez eu du plaisir à la boire ? – Le Figaro / 2010
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« Imaginez que j’ai commencé avec des fours à charbon. Aujourd’hui, je suis un enfant de pauvre qui vit comme un gosse de riche ! » – Paris Match / 26/04/2007
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« J’aime les assiettes identifiables. S’il y a besoin d’une explication de la gauche à la droite, cela ne m’intéresse pas ! » – Le Figaro / 2010
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« Bien faire un travail ne prend pas plus de temps que de le faire mal »
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« De même que la cuisine doit laisser aux produits le goût de ce qu’ils sont, le cuisinier doit employer des mots qui ont le sens de ce qu’ils sont… »