Pêcher au large de Monaco est une expérience unique ! Sortir d’un port mythique, côtoyer de près les plus grands yacht au monde, être survolé par des hélicoptères, contempler le lever de soleil sur la Principauté, voir Monaco comme vous la voyez rarement et surtout pêcher des poissons exceptionnels à leur sortie de l’eau !
Congres, daurades, langoustes, calamars, Dorin (ou mulet à taches jaunes du large), serrans, pagres, sars, ravels, rougets, les prises sont très différentes selon les jours et selon les moyens employés. Aujourd’hui, nous avons pêché à la palange, par 60m de fonds au large de Fontvieille ! nous étions plus sur de petits poissons de roche tels que le serran, le pagre, le sar, le ravel. Voici le récit en images de cette matinée de pêche à Monaco :
7h15 départ du port de Monaco à bord du Lulou
Sortie du port, on peut apercevoir l’Hôtel de Paris
Ici, le nouveau Yacht Club de Monaco, le Casino de Monte-Carlo, l’Hôtel de Paris et le l’Hôtel Hermitage
Direction le large
Le soleil commence à se lever
Les couleurs sont absolument merveilleuses, c’est une atmosphère de carte postale. On aperçoit le rocher de la Turbie.
Gérard vient d’attraper la première balise, il remonte le fil…
Ici on aperçoit le Musée Océanographique
Il y a 40 mètre de fils à remonter avant d’arriver aux premier hameçons
Il arrive de remonter des rochers,… Ici, le palangre s’est accroché au fond et nous avons perdu plus de 40 hameçons…
La première prise…
Le premier hélicoptère va atterrir sur l’héliport de Fontvieille
Ici un magnifique serran
Il faut bien défaire les bras, du fil principal en le remontant
Retour à Monaco, nous avons remonté plus de 60 hameçons en 2h30
Le magnifique Musée Océanographique
Les prises du jour,… La mer n’a pas été très géreuse, tout au plus une petite caisse de poissons…
Retour dans le port, on aperçoit le Rocher, la Turbie et les yacht amarrés
Trois grands yachts à l’entrée du port
Ona fait 110m de long et 16m de large
Ce n’est pas du travail, c’est du plaisir, une passion !
Lulou !
Quelques autres yachts
Retour au point d’ancrage…
© FoodandSens / Guillaume Erblang-Rotaru