1 – Jean Sulpice – « Enfin ! Après 4 années passées à L’Auberge du Père Bise, je suis aujourd’hui très ému – au nom de toute la Team Sulpice de recevoir et vous présenter notre travail 🙌 👉 « Le Chef, l’Auberge & le Lac » disponible dès le 9 septembre dans toutes les bonnes librairies et en ligne 🔥 Ce témoignage de notre territoire n’aurait pas été possible sans Magali qui m’accompagne et me soutient au quotidien, mon complice de toujours Georges Riu, le talentueux photographe Thomas Dhellemmes, les mots de Jacky Durand et la maison d’édition Glénat. Un grand merci à eux 🙏 «
2 – Au coeur de son Cantal, le chef Serge Vieira propose une expérience pique-nique, alors une petite visite à Chaudes-Aignues dans son hôtel restaurant Sodade pour profiter de son savoir faire en pleine nature ?. Le chef a indiqué : » Pique-nique au cœur de la nature ! Il ne manque plus que vous… 😌 Paniers pique-nique disponibles du mardi au dimanche. À commander avant 10h. Pour plus d’informations appelez-nous au 04 71 60 10 23 «
3 – La Fenière transformé en lieu de vie … quelle bonne idée ! … c’est ce que propose la chef Nadia Sammut installée en Lubéron à Cadenet au coeur de la Provence. La chef a indiqué : « [LIEU DE VIE] si la Feniere devenait VOTRE lieu de vie, vous pourriez… Venir y passer du temps, Pour travailler (nous vous avons préparé votre LIEU pour un télétravail de rêve dans le Luberon), vous reposer, déjeuner, faire du yoga, du vélo, du sport… que sais je! soutenir des chantiers participatifs dans notre potager par exemple… vous pourriez cuisiner, déguster, participer aux vendanges aux alentours, manger, découvrir… si la Feniere devenait votre lieu de vie, vous seriez membre d’une communauté de destin à impact positif pour un monde au goût meilleur, et vous participeriez à mette une pierre à l’édifice au travers des projets que nous portons! Dés le 10 septembre découvrez la suite de la Feniere lieu de vie sur www.aubergelafeniere.com «
4 – Très beau papier du quotidien Libération sur la saga Troisgros, une histoire de famille qui aura marqué à jamais l’histoire de la gastronomie française. Ainsi commence l’article : « Constellation. Depuis quatre générations, tous les membres du clan, multi-étoilés, brillent en salle et derrière les fourneaux. Dans la lignée de l’hôtel-restaurant des arrières grands-parents et du célèbre saumon à l’oseille des deux frères, Michel Troisgros transmet aujourd’hui la gastronomie familiale à ses enfants. Nourrir les autres est sans doute l’un des métiers les plus difficiles au monde. Parce qu’il faut recommencer chaque jour sans décevoir. Surtout quand on tutoie le firmament des trois étoilés avec chacun ses goûts, son caractère. Dans la galaxie hexagonale (que ceux qui ne sont pas présentement cités nous pardonnent), il y a des monstres sacrés (Fernand Point, Paul Bocuse), des omniscients hyperactifs (Alain Ducasse), des imprévisibles géniaux (Marc Veyrat), des aubergistes stratosphériques (Guy Savoy), des magiciens inimitables (Pierre Gagnaire), trop peu de femmes (Anne-Sophie Pic). Et il y a les Troisgros à Roanne (Loire). Enfin… on devrait écrire Michel Troisgros, 62 ans, fils de Pierre, né en 1928, neveu de Jean (1926-1983)…. » Pour lire la suite cliquez ICI
5 – C’est avec beaucoup de tristesse que le chef Thomas Keller a annoncé la fermeture définitive de son nouveau restaurant le TAK Room à New York, la crise pandémique à eu la peau de ce restaurant qui était une vraie oeuvre architecturale, extraordinaire. Le chef américain trois étoiles au guide Michelin a déclaré il y a quelques jours qu’il fermait son restaurant TAK Room à Hudson Yards, l’une des fermetures les plus médiatisées à ce jour. Le restaurant était une attraction phare du complexe qui a coûté 25 milliards de dollars, et développé par la société Related Cos. et Oxford Properties Group qui s’étend de la 30e à la 34e rue et de la 10e à la 12e avenue à Manhattan. Le complexe a ouvert l’année dernière et a essayé de se positionner comme une destination culinaire de premier choix dans la ville, mais voilà après un démarrage difficile la crise épidémique a touché les USA, et l’affaire qui demandait d’énormes frais de gestion n’a pas pu résister à la crise économique. c’était le seul développement à NYC depuis l’ouverture de Per Se dix ans avant.