« Le Meilleur Pâtissier » reprend demain soir sur M6 – Lignac/Mercotte une complicité sans faille

  » Le meilleur pâtissier « , l’émission présentée et produite par le chef Cyril Lignac reprend du service demain soir ( mercredi 12 octobre à 21h sur M6 ), le chef fait un beau succès d’audience avec son programme sucré. Le magazine Télé Z est allé à la rencontre du chef qui ne manque de confirmer encore que le succès de l’émission c’est aussi le tandem Lignac/Mercotte.

Mercotte c’est la  » Mamie gâteau  » que tout le monde rêve d’avoir, quand à Cyril Lignac, c’est peut-être le gendre idéal … un duo qui enthousiasme le public et fait du bien !

Télé Z vous en dit plus :

Cyril Lignac : « Le jour où Mercotte arrête ‘Le meilleur pâtissier’, j’arrêterais aussi »

La cinquième saison du concours Le meilleur pâtissier débarque ce soir sur M6. Rencontre avec le chef Cyril Lignac qui, en compagnie de Mercotte la célèbre blogueuse, composent le jury exigeant et redoutable de l’émission.

TeleZ.fr : Que pensez-vous des candidats de cette nouvelle saison ?

Cyril Lignac : – Ils sont hyper talentueux, mais je n’ai pas envie de faire de comparaisons avec les candidats des années précédentes. Ils ont tous été excellents. C’est d’ailleurs le très haut niveau de toutes ces personnes qui est à l’origine du succès de l’émission.

Quel est, cette année, le gâteau qui vous a le plus enthousiasmé ?

– Celui de Chelsea, une candidate d’origine australienne, qui a élaboré un gâteau à étages avec une espèce de biscuit australien nappé de crème. Ce n’était pas le trip complet mais lorsque je l’ai goûté, c’était dingue comme c’était bon.

L’émission devient internationale…

– C’est vrai, cette année avec Chelsea, une Australienne qui vit en France depuis un an, et Mélanie qui vient de Belgique, l’émission dépasse les frontières de l’Hexagone. La participation de Chelsea est d’autant plus courageuse qu’étant donné qu’elle baragouine à peine le français, elle a été obligée de se débrouiller pour comprendre notre langue.

Apporte t-elle un élément particulier à l’émission ?

– Oui car elle a confectionné des gâteaux avec une sensibilité culinaire différente de la nôtre. La pâtisserie australienne n’a rien d’exceptionnelle mais ses biscuits étaient très bons. D’ailleurs je vais prendre des cours d’anglais avec elle car elle connaît tous les termes culinaires dont j’ai besoin.

Comment le niveau des candidats a-t-il évolué ?

– Au cours des années, ils ont progressé car la plupart a tendance à se professionnaliser en achetant des livres de cuisine pour s’entraîner. Pour créer leurs propres recettes, ils mélangent savamment un peu du savoir-faire de plusieurs pâtissiers de renom. Avec cette pratique, les gâteaux sont forcément meilleurs.

C’est quand même nouveau de voir un biker ou un militaire pâtisser pour leur famille…

– C’est vrai mais la société a évolué. De plus, pour moi, la pâtisserie est un acte de générosité et d’amour. Lorsqu’on prend le temps de confectionner un gâteau pour faire plaisir à sa famille ou ses amis, on ressent une sorte de fierté.

Est-ce toujours votre cas ?

– Oui, aujourd’hui encore, lorsque je ramène un gâteau à mes parents, j’ai le même plaisir à les voir le déguster qu’à l’époque où j’étais apprenti. Ce geste d’offrir quelque chose que tu as fabriqué de tes propres mains en te donnant du mal est très fort. Ce moment de partage est génial !

A votre avis, quel est le point fort de l’émission ?

– Dans une société assez stressante, cette émission offre une bulle où, dans un environnement bucolique, règne une atmosphère très cool et très calme. On y fait de la pâtisserie avec un esprit de compétition mais qui ne prend pas le dessus sur le plaisir de partager ce moment ensemble. D’autre part, entre nous, l’entente et la complicité sont réelles d’où notre bonne humeur permanente. D’ailleurs, le jour où Mercotte arrête, je la suivrais car sans elle, l’émission ne sera plus la même.

Propos recueillis par Nicole Real pour téléZ
© V. FLOURET/M6 – M6 – M. ETCHEGOYEN/M6
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