Soulagement forcément pour les 500 salariés du groupe pour qui cette année a été longue. Malgré tout, il n’y avait plus de suspense ces derniers jours car les autorités chinoises, parfois réticentes, avaient donné leur aval au rachat de Baccarat. Après le rachat, vient le temps des investissements : entre 20 et 30 millions d’euros tout de suite et jusqu’à 50 millions après, selon l’expert du comité d’entreprise de la cristallerie. Objectif : développer un réseau de boutiques à travers le monde et notamment là où le secteur du luxe explose, c’est-à-dire en Asie. Quant au savoir faire, il devrait rester en Meurthe et Moselle, la présidente du fonds FFC Coco Chu avait pris cet engagement l’an passé.