Le Marché de Rungis est à l’étroit, la logistique devient compliquée, le commerce électronique monte en puissance ce qui créé la nécessité d’augmenter la capacité de stockage et de repenser la logique de distribution.
Alors Stéphane Layani à la tête de la Semmaris qui gère le Marché d’Intérêt National de Rungis (MIN) a présenté au gouvernement le projet Agoralim qui a pour but de doubler ce qui se fait à Rungis au nord de Paris, à la clé 75 hectares d’emménagement et 4000 emploies…
Pour en savoir plus visionnez ci dessous l’article du quotidien Les Échos