Entre mer et garrigue, chant des cigales et du mistral, il était une fois un domaine béni des dieux qui ont jeté des paillettes d’or et de lumière sur ces terres ancestrales entre Toulon et Saint-Tropez, entre vallée des Maures et cap Bénat. Là la garrigue s’étale majestueusement, les pins et oliviers dansent sous le vent comme sur une toile de Cézanne, un paradis à quelques pas de la plage protégée de Pellegrin. Portes d’un domaine furieusement provençal, un domaine avec l’accent de Giono, Le Domaine Léoube. En ce lieu magique, sauvage et protégé, règnent la paix et la beauté. On pourrait voir surgir Manon des sources. UN domaine avec un mas, un vrai, des vignes, des oliviers, à perte de vue. Du bleu à perte de vue jouant de toutes ses subtilités entre ciel et mer, du vert dans toutes ses nuances sous le vent – pins qui touchent le ciel, palmiers sudistes, oliviers gaillards, figuiers lourds de feuilles et de fruits qui s’alanguissent jusqu’au sol – et cet indicible charme de la Provence authentique, en bordure de mer, face aux îles d’Hyères, sur la commune de Bormes-les-Mimosas. Lord et Lady Bamford ont entrepris la restauration du château et des vignobles bercés par les parfums magiques, qui se mêlent et s’entremêlent dans une douce euphorie des pins, des arbousiers, des jasmins et des figuiers, qui sous le soleil ardent explosent.
Le chantier était colossal, les précédents propriétaires avaient négligé le vignoble, l’oliveraie et les richesses de cette terre provençale. Un long travail à transformé les terres à l’abandon, les parcelles ont été réaménagées. Il a fallu nettoyé, arraché, planté, installé une agriculture responsable, bio, respectueuse de l’environnement, de la terre, et des plantes. Pas de pesticides, pas de chimique, mais travail avec respect et amour de cette terre provençale fertile et généreuse. Les vendanges sont naturellement manuelles. Harmonie, paix et exigence règnent sur le domaine viticole, confié à l’expérience haute-couture de Romain Ott, seigneur du vin en Provence. Fils de viticulteur et issu d’une famille de vignerons depuis quatre générations, il assure l’ensemble des productions (vins et huiles d’olive) du Château Léoube, veille au renouveau et à l’identité de Léoube depuis 2000, avec passion et grand attachement à la philosophie familiale. « Produire avec amour et reconnaissance le meilleur de ce qu’une terre peut donner… » : telle est la philosophie de Romain Ott, une « philosophie de l’Essentiel », dans le plus grand respect du produit et des traditions, dans la recherche subtile de raisins les plus sains et les plus équilibrés possibles, pour une qualité et une régularité suprêmes.Du style, de l’élégance, de l’équilibre, de la race, celles des seigneurs de la vigne.
Bordées d’arbousiers, de pins et d’une multitude d’autres essences sauvages, les vignes donnent des rouges aux notes d’épices, de garrigue bien marquées ainsi que des rosés et des blancs à la minéralité exceptionnelle, aux notes iodées.
Entre vert des arbres, bleu de la mer et or du soleil, un café, Le Café Léoube, petit coin de paradis et de quiétude pou déjeuner ou dîner pour prolonger l’enchantement de la visite du domaine. Cuisine méditerranéenne of course, de saison signée Marion Pouget qui célèbre les fruits et légumes biologiques cultivés dans les vergers et le potager du Château Léoube. Élégantes petites assiettes, salades fraîches du jardin, fruits de mer grillés; homard… somptueusement accompagnés du meilleur rosé de-Provence du domaine et des huiles de l’oliveraie…
« Léoube est un lieu magique qui invite à l’éveil de l’esprit et à la contemplation. C’est une ode à la beauté de notre terre, au respect et à la préservation de ce qu’elle nous donne »
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Bonjour
Je n’ai rien contre le fait que des anglais qui sont nos voisins et amis rachètent des domaines viticoles en Provence, mais je trouve navrant qu’ils choisissent de bloquer le passage dés randonneurs qui ne gênaient aucunement, le littoral qui est un « bien commun » de nos compatriotes, et que les riches privés avancent de plus en plus sur le bord de mer en posant des clôtures est une honte, la bande côtière est de plus en plus réduite pour le passage des familles, des enfants, du peuple, toujours plus, toujours plus, j’ai souvent honte pour tous ceux qui ne réfléchissent même pas à cette nécessité de vivre ensemble, en cette période d’elections, posez vous la question jusqu’ où aller trop loin, la mer est à tous, en 1936 des millions d’enfants découvraient pour la première fois la mer, faut il encore une révolte pour avoir le droit de sillonner notre littoral?
En tout cas vous faites ce qu’il faut pour!
Mes salutations.