Philippe Conticini nous étonne, nous enchante et nous régale assurément. Après le bar à chouquettes, il vient d’ouvrir le Bar à Millefeuille, Minute, promesses de mille – et une – feuilles flamboyantes, gourmandes, addictives, de longues minutes de plaisir et de douceur sucrée, feuilletée. Le Millefeuille, désormais grand classique de Philippe Conticini, est de retour ! 

Le millefeuille incontournable des vitrines des bons pâtissiers, des anniversaires et des déjeuners du dimanche, va séjourner en majesté dans la boutique iconique du magicien du sucré, rue Notre-Dame-de-Nazareth, à quelques pas de la Place de la République.

Que toutes et tous ceux qui aiment le millefeuille se lèvent et s’y rendent sans hésitation à cette adresse, pour succomber à la pâtisserie émotion, découvrir à côté des autres merveilles de Philippe Conticini, ce comptoir éphémère, ce bar addictif, sucré , feuilleté. Tous les deuxièmes et quatrièmes samedis du moi, jusqu’au 25 décembreVous attendent des feuilles, mille feuilles à la française, « un millefeuille découpé sur le moment, à la minute rien que pour vous…Vous succomberez vite au « feuilletage et à la crème à la vanille denses et fondants » que vous pourrez selon votre envie agrémenter de caramel au beurre salé, de praliné, personnaliser comme vous le voulez puisque ce millefeuille est pour vous, rien que pour vous, diablement monté, furieusement garni et somptueusement bon, très très très très très bon.

Des milliers de feuilles garnies à votre goût,  à la minute, laissez vivre vos envies et votre imagination et cédez à la tentation du millefeuille. Le Millefeuille respecte la traditionnelle recette du Chef, avec un feuilletage inversé qui fond dans la bouche, et une crème diplomate à la vanille Bourdon de Madagascar.Toutes les  envies et associations de saveurs classiques, originales, audacieuses, inédites sont possibles avec l’étape du topping  à choisir parmi  Caramel au beurre salé, Caramel exotique (passion/ mangue/ ananas) , Praliné maison 69%  praliné, caramel, de la pâte de spéculoos, et des confits de citron ou d’agrumes. Le tout, fraîchement monté, devant vos yeux !

Dessert incontournable, mythique de la pâtisserie française, le mille-feuille regroupe de nombreuses techniques comme celles de la pâte feuilletée ou de la crème pâtissière. On trouve ses origines au 17e siècle, un certain François Pierre de la Varenne évoque dans un livre, une pâtisserie faite de feuilleté et de crème aromatisée au kirch ou au rhum. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, il ne contient pas 1.000 feuillets de pâte mais 729 exactement. Il est Parisien, oui, le millefeuille est né à Paris. Depuis le 17è il a évolué, a disparu, est revenu. Antonin Carême, « roi des chefs et chef des rois » reprend la recette  et donne à ce classique ses lettres de noblesses, sa définition qui se perpétue depuis. Adolphe Seugnot popularisera le millefeuille au 19è siècle. Sa pâtisserie de la rue du Bac voit les Parisiens gourmands faire la queue durant de très très longues minutes pour acquérir ce dessert de trois étages, trois couches de pâte feuilletée, au nombre élevé de feuillets de pâte, et entre chaque feuille s’alanguit une généreuse couche de crème. Le tout saupoudré de sucre glace (depuis les années 80), de fondant ou d’un glaçage (jusqu’aux années 80). Du feuilletage et une crème pour une pâtisserie qui offre un contraste de structures et de textures – croustillant, moelleux, fondant tout a la fois – et un décor qui a évolué. Philippe Conticini a gardé le meilleur de toutes les transformations du mille feuille.