Un nouveau lieu de vie, de partage, de bonheur – Madame Rêve – ou comment une ancienne poste, la muythique poste du Louvre a rêvé de se métamorphoser en lieu d’exception où nous allons nous précipiter non plus pour uniquement poster des mots d’amour, rencontrer une conseillère postale, retirer des colis ou acheter de bateaux timbres mais surtout  donner des rendez-vous à un amoureux, à des copines, partager des expériences et rêver à tous les étages, rue du Louvre. Après neuf ans de défis, de travaux spectaculaires et de passion partagée, le bâtiment de la Poste du Louvre reprend vie et donne naissance à l’hôtel Madame Rêve. Sur 7ooo m2, Laurent Taïeb offre aux Parisiens, et aux touristes du monde entier, 82 chambres et suites le plus souvent dotées de terrasses, un espace Bien-Être, deux restaurants et un immense rooftop végétalisé, avec une vue inédite et radicale sur un Paris plus vrai que jamais. « Au cœur du Paris historique, dans un immeuble iconique de la capitale, j’ai imaginé l’hôtellerie de demain. Madame Rêve  propose de vivre une expérience inédite en plein cœur de la ville des Lumières, face à un panorama fantastique ». Laurent Taïeb (Fondateur et directeur artistique de l’hôtel).

Le bâtiment abrite d’ores et déjà  un hôtel de luxe et très vite va voir s’ouvrir un restaurant mais aussi des commerces, un commercerait et un bureau de poste sur les plus de trente mille carrés de cet ancienne poste qui ne fermait jamais, restait ouverte de jour et de nuit 7 jour sur 7. Le bâtiment de fer et de pierre s’est offert un lifting sans perdre  es caractéristiques de l’architecture industrielle de la IIIe République. 

Le nouvel hôtel déploie ses quatre-vingt-deux chambres, toutes au même étage, sur le toit de l’immeuble  avec des vues imprenables sur Paris. «Ouvrir à Paris en septembre-octobre, c’est la meilleure période en temps normal, déclare Laurent Taieb, fondateur et directeur artistique de l’hôtel, classé 5 étoiles. Avec le Covid, c’est plus difficile, mais cela reste la meilleure période.»

Ce lieu de vie a été conçu pour procurer des instantanés de plaisir. Luxe accessible. Madame Rêve offre la chance de découvrir, rencontrer Paris autrement. Une ville dans la ville. Tout en haut de ce bâtiment iconique de la capitale, le rooftop de 1000 m2 dévoile une combinaison inédite qui fait découvrir Paris comme jamais vous ne l’avez vu.

UN HÔTEL –  vivant et inspiré et des chambres, 82 chambres et suites sur 1 étage dont 43 chambres avec terrasses/balcon – l’émerveillement et la surprise sont là des l’entrée, juste une petite porte à pousser et là les whaouh tant espérés jaillissent à la découverte du lobby qui est aussi café et restaurant.

Gagner l’ascenseur qui en quelques secondes rapproche du paradis , vous pouvez toucher des yeux et presque des doigts une éclatante verrière végétalisée qui court sur deux étages et donne à l’étage qui abrite les chambres une luminosité, un éclat à nul autre pareil. Chaleur du bois, des boiseries et des planchers, chaleur magistrale du velours, chaleur des meubles mordorés. Et luxe suprême, la plupart des chambres s’ouvrent sur une terrasse. avec vue imprenable sur le ciel parisien, sur les étoiles, les  toits de la ville lumière.

UN RESTAURANT en rez-de-chaussée – MADAME RÊVE CAFÉ dans un décor époustouflant qui reprend les codes du fastueux chic parisien des XIX et XX, marbres, boiseries acajou, velours chatoyant pour  pour déguster une cuisine méditerranéenne d’aujourd’hui à toute heure de la journée. Le plus : 8 mètres de hauteur sous plafond.

UN RESTAURANT PERCHÉ – LA PLUME – Perché en plein ciel – et UN CHEF – BENJAMIN SIX.

LE ROOF TOP LE PLUS EXTRAVAGANT –

UN DIRECTEUR ARTISTIQUE – LAURENT TAÏEB – Il a tout assumé des sols aux plafonds, du choix des tissus à la sélection des meubles. Artiste touche-à-tout aux mille facettes, il raconte là une belle histoire, un beau roman d’un gamin de Paris fasciné par les arts, les artistes et la ville.  «Madame Rêve, dit Laurent Taïeb, c’est un projet très personnel, c’est un conte contemporain que j’ai imaginé pour moi et écrit pour les autres. Je sais d’où je viens. Né en Tunisie, je vivais à Paris, près des Puces de Saint-Ouen, c’était mon terrain de jeu. Je me suis créé un univers fantasmagorique imprégné de style et de savoir-faire. Je déambulais parmi les stands, jonglant avec les genres, sautant d’une époque à l’autre comme sur un jeu de marelle imaginaire. C’est ici que ma nouvelle vie a commencé, où j’ai construit mon alphabet, créé mes esthétiques ». «J’ai voulu raconter cette histoire en m’appuyant sur un savoir-faire français sans égal. Dès le rez-de-chaussée, il fallait exprimer le langage des volumes, retrouver le souffle créatif du verrier Emile Gallé et de l’ébéniste Louis Majorelle. Je voulais aussi exprimer ma fascination pour la Sécession viennoise en m’inspirant de Josef Hoffmann pour la création des lustres… Ainsi est née l’idée du grand café avec sa hauteur sous plafond de huit mètres rappelant la grandeur des lieux historiques ».