» Je suis si fatigué de ce besoin constant de dimensionner, classer et répertorier chaque chose dans cette industrie de la cuisine » indique le chef, visiblement remonté contre cette manie des classements.
Bien qu’il reconnaisse que les récompenses et les classements ont aidé son entreprise et énormément stimulé son ego, il pense que ce dimensionnement constant au travers de listes crée une concurrence qui n’est pas positive.
« Ce n’est pas du sport, ce n’est pas de la politique. Ce n’est pas une question de votes, ce n’est pas une question d’évaluation. Il s’agit de manger, de vivre, de cuisiner et de bouger les fesses », dit-il.
De plus, pour lui il est injuste que l’on compare des milliers de cuisines dans le monde qui souvent n’ont rien en commun.