Par contre on y retrouve une restauratrice engagée ÉVA JAURENA – Vanity Fair indique d’elle : « À la tête de Mingway, le restaurant lumineux du Centre national de la danse, elle se fait l’avocate d’une gastronomie vertueuse, « abordable, bonne et démocratisée ». Voici déjà sept ans que son association, Ernest, mobilise les restaurants les plus désirables de Paris (Septime, Frenchie, Holybelly, Le Servan…) pour distribuer à deux cents familles dans le besoin des paniers de fruits et légumes bio, cultivés à Sevran (Seine-Saint-Denis) par des travailleurs en insertion. Pendant le confinement, le projet s’est transformé en « véritable machine de guerre » : la restauratrice a traqué les chefs à l’arrêt, les cuisines vides, et livré 3 300 repas à l’aide alimentaire et au personnel soignant chaque semaine. »
On retrouve aussi une influenceuse qui se bat pour le statut de la Femme dans la gastronomie CAMILLE AUMONT CARNEL : » Élevée entre le Niger, Madrid, Madagascar et la France par un père au foyer et une mère diplomate, elle intègre l’école de cuisine Ferrandi avec l’ambition de devenir la première cheffe étoilée noire du guide Michelin et découvre un milieu « très sexiste, très machiste et très raciste ». Je dis non chef, son compte Instagram, est devenu un « safe space » pour toutes les femmes de la gastronomie trop souvent réduites au silence par une hiérarchie ancrée dans le patriarcat. La vague #MeToo qui gronde dans le monde de la cuisine peut lui dire merci. »
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