En vingt ans de carrière, Leonardo DiCaprio s’est constitué un joli patrimoine – villas, appartements et bientôt hôtels –, investissant dans la pierre des cachets qui n’ont fait que s’envoler depuis le raz-de-marée planétaire de Titanic, en 1997. Le magazine Forbes évaluait récemment ses revenus entre 30 et 40 millions de dollars annuels, ce qui lui permet de réaliser régulièrement de juteuses opérations immobilières.
Devenu magnat de l’immobilier Leonardo DiCaprio dispose aujourd’hui d’une fortune évaluée à plus de 200 millions de dollars, dont une grosse partie consiste en des biens immobiliers situés à Los Angeles, Palm Springs ou encore New York…
Plus récemment, DiCaprio est passé à la vitesse supérieure en se lançant dans plusieurs projets hôteliers. Il vient d’annoncer qu’il allait investir dans un complexe hôtelier en Israël, situé au nord de Tel-Aviv, dans des bâtiments qui respecteront les dernières normes écologiques.
En parallèle, l’acteur achève également un autre projet vert qui lui tient à cœur, l’incroyable éco-resort devrait ouvrir ses portes au public d’ici la fin de l’année.
Décrit comme un « game changer » par ses promoteurs, cette adresse exclusive va prendre possession d’une île privée du Belize, Blackadore Caye, dont l’acteur a fait l’acquisition il y a plus de dix ans. L’ambition ? Devenir un « leader mondial de l’hôtellerie écologique ». Sur 43 hectares, on retrouvera 68 villas aussi modernes que luxueuses, posées au-dessus de l’eau, tandis que les terres abriteront 48 maisons privées, disponibles à la vente.
Panneaux solaires, construction à l’aide de matériaux recyclés et non polluants, recyclage des eaux usagées, ainsi qu’un vaste projet de reforestation de l’île font partie de la promesse de Blackadore Caye, qui tient à avoir un impact environnemental aussi faible que possible. L’acteur oscarisé souhaite également y organiser des cours, conférences et séminaires sur le réchauffement climatique et ses dangers, une véritable vitrine des écotechnologies.