Voyez ce qu’explique ci-dessous le blog de France3 région de Toulouse :
Travailler seul ou besoin d’une salle de réunion improvisée ? Pourquoi ne pas se retrouver dans un restaurant ou dans un salon de thé en dehors des heures de repas. C’est l’objectif de Frenchwork qui propose une sélection de lieux à Toulouse pour les travailleurs indépendants. Le service a été lancé ce vendredi 1er juillet.
Le principe de Frenchwork est simple : « Bénéficier d’une sélection de restaurants où travailler en toute liberté en dehors des heures de repas » explique le toulousain Jérome Introvigne, l’un des deux fondateurs.
Ce « coworkting à la française » propose ainsi des adresses de restaurants, bars ou salon de thé qui ouvrent en dehors des heures habituelles. « Entre 10h00 et 12h00 et entre 14h00 et 18h00 » précise Jérôme Introvigne. Chaque demi-journée se facture 10 euros, café compris.
Frenchword a été inauguré ce vendredi 1er juillet à Toulouse par deux toulousains entrepreneurs : Jérôme Introvigne et Sebastien Hordeaux. 5 restaurants de la ville rose sont déjà partenaires … Chacun est facile d’accès et équipé d’une terrasse et du wifi.
Le Airbnb des restaurateurs
Ce service de coworking au restaurant est destiné avant tout « aux travailleurs nomades, aux indépendants, aux coachs, aux entrepreneurs,… » énumèrent les deux concepteurs. A terme, ils visent également les télétravailleurs des grandes sociétés.
« De très nombreux travailleurs ne possèdent pas de bureau : 1,5 millions d’emplois non salariés, 1 à 3 millions de salariés nomades en France, des centaines de milliers de toutes petites entreprises et de start-ups » expliquent-ils.
Parallèlement, Frenchwork permet aux restaurateurs de compléter leur revenus en « louant » leur salles durant les heures creuses. En un mot, un Aibnb des restaurants.
Lancé d’abord à Toulouse, les deux concepteurs veulent s’étendre rapidement sur l’ensemble de l’hexagone. L’objectif est d’adhérer « une centaine de restaurants dans les 10 premières villes françaises ces prochaines mois » détaillent-ils. Ils espèrent ainsi convaincre « entre 3000 à 5000 coworkers la première année ». Une belle initiative à suivre.
Frenckwork : https://frenchwork.fr/