41 % des Français considèrent un restaurant étoilé comme un rêve inabordable

16 novembre 2017  0  F&S LIVE

  Une étude du site Groupon estime que manger dans un restaurant gastronomique étoilé est un rêve inabordable pour une grande partie des Français. En même temps, il n’est pas vraiment précisé la définition de gastronomique, car ce positionnement dans le créneau gastronomique ne veut pas forcément dire onéreux et luxueux, 

Bien évidemment, cela représente un budget et dans ces périodes économiques compliquées, la priorité des dépenses pour beaucoup de ménages français n’est pas dénicher une bonne table. En même temps parfois il vaut mieux sélectionner ses adresses, car entre un endroit plutôt mauvais et une belle petite table esprit bistronomique, souvent il n’y a pas beaucoup de différence de prix.

À lire quand même sur le site Bien Public

Le restaurant étoilé, un rêve inabordable pour 41% de Français

41% de Français n’ont jamais eu vécu l’expérience d’un repas gastronomique dans un restaurant étoilé, rapporte une étude du site de e-commerce Groupon ce mercredi 15 novembre.

Vivre un dîner gastronomique auprès d’une adresse plébiscitée par le guide Michelin reste un rêve pour bon de nombre de consommateurs. Quant à ceux qui ont eu déjà l’opportunité de déguster une cuisine étoilée, cette sortie n’est pas fréquente puisque 17% réservent une fois par an. Seuls 19% des chanceux interrogés précisent manger dans un restaurant étoilé plusieurs fois par an.

Sans surprise, le prix constitue le frein majeur pour réserver dans un restaurant du guide Michelin. 68% des sondés sont dissuadés de s’y rendre plus souvent à cause des prix prohibitifs. Quant à ceux qui déclarent ne jamais y aller, ils pointent du doigt cet argument (72%).

Toutefois, d’autres consommateurs envisagent les restaurants étoilés comme des endroits à fréquenter pour des occasions spéciales (32%). A noter que 15% soulignent les délais d’attente parfois trop long pour bénéficier d’une table.

Cette étude a été réalisée du 10 au 11 octobre 2017 auprès d’un échantillon de 1.095 personnes.